Bonnie Blue, star montante d’OnlyFans, défraye la chronique avec un record explosif : 1 057 partenaires en 12 heures. Cet événement organisé le 16 janvier, relayé par The Sun, révèle un protocole strict mêlant tests MST, contrôles d’identité et préservatifs obligatoires. Alors que l’Australie dénonce une « perversion de la jeunesse », la Britannique assume ses méthodes : « Avant de…, je vérifie ça », confie-t-elle, sans divulguer tous les secrets de son succès sulfureux.
Un exploit viral qui secoue les réseaux sociaux
Le 16 janvier, Bonnie Blue, créatrice de contenu originaire du Derbyshire (Royaume-Uni), pulvérise tous les records en accumulant 1 057 partenaires sexuels en 12 heures. L’événement, minutieusement planifié, dépasse le cadre habituel d’OnlyFans pour s’imposer comme un phénomène mondial, relayé par des médias comme The Sun. Sur Instagram, les chiffres affolent les compteurs : entre fascination et stupeur, la performance place la Britannique sous les projecteurs internationaux.
Derrière ce chiffre vertigineux se cache une logistique implacable. L’initiative, d’abord présentée comme un défi personnel, devient rapidement un sujet de débats enflammés. Bonnie Blue assume ouvertement son statut de travailleuse du sexe en ligne, soulignant que chaque interaction relève d’un « choix réfléchi ». Certains internautes saluent son audace, tandis que d’autres dénoncent une « marchandisation du corps », sans pour autant entamer la détermination de la star.
Préservatifs obligatoires : « Mon corps est mon outil de travail »
Bonnie Blue ne transige pas sur la première règle : l’usage systématique du préservatif. « En sachant que mon corps est mon outil de travail, je ne peux pas prendre le moindre risque », explique-t-elle, évoquant les dangers d’IST comme le VIH. Cette exigence s’applique à tous ses partenaires occasionnels, sans exception. Un choix jugé « non négociable » pour protéger sa santé et pérenniser son activité sur OnlyFans.
Si certains adeptes critiquent une « rigidité excessive », des professionnels de santé saluent cette rigueur. Bonnie Blue rappelle que les créateurs de contenus adultes sont particulièrement exposés : « Un seul rapport non protégé peut tout gâcher ». Face aux accusations d’« approche irresponsable », elle rétorque : « Je prouve qu’on peut concilier performances et sécurité », balayant d’un revers les « caprices d’influenceuse » qu’on lui prête.
Tests MST et traçabilité : l’exception négociée
La seconde règle de Bonnie Blue concerne les créateurs d’OnlyFans : ils peuvent contourner l’obligation de préservatif à condition de fournir un test MST complet. « Nous devons nous montrer les résultats, et je conserve toutes les coordonnées », précise-t-elle. Un registre méticuleux permet à la star de contacter rapidement ses partenaires en cas de contamination, un dispositif décrit comme « une assurance-vie professionnelle ».
Cette pratique, peu courante dans le milieu, suscite des questions sur la protection des données. Bonnie Blue justifie cette traçabilité par son « devoir de responsabilité ». « Si un test est falsifié, je pourrais engager des poursuites », avertit-elle, soulignant que son équipe vérifie systématiquement l’authenticité des documents. Une rigueur administrative qui tranche avec l’image de liberté associée à son métier.
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