
Les Solutions D’Urgence Réclamées Par La Profession
Ces appels au secours s’accompagnent de propositions concrètes. Face à l’engorgement du système, les professionnels de la conduite pressent les autorités d’agir rapidement pour « redonner de la visibilité aux candidats ».
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Première mesure réclamée : abaisser l’âge de l’apprentissage anticipé à 14 ans. Cette anticipation permettrait d’étaler la formation sur une période plus longue, réduisant la pression sur les créneaux d’examen traditionnels. Les jeunes arriveraient mieux préparés au moment fatidique.
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Les professionnels plaident aussi pour une augmentation du volume d’heures obligatoires. Paradoxal ? Pas vraiment. Mieux former en amont éviterait les échecs répétés et les reprises coûteuses. Un candidat bien préparé réussit du premier coup, libérant des créneaux pour les suivants.
Troisième proposition : instaurer un test de niveau avant l’examen officiel. Cette évaluation préalable filtrerait les candidats pas encore prêts, optimisant l’utilisation des précieux créneaux d’inspecteurs. Moins d’échecs, moins d’embouteillages dans le système.
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Ces mesures visent toutes le même objectif : désengorger un système à bout de souffle. Car derrière ces chiffres alarmants se cachent des jeunes contraints de renoncer à leur autonomie, des familles qui s’endettent, et une inégalité sociale qui se creuse.
L’urgence est réelle. Reste à savoir si les décideurs politiques sauront entendre ces cris d’alarme.
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