Image d’illustration © Buzzday
Cinquante Ans De Terreur Pure Dans Les Témoignages
Si Hollywood abandonne, c’est que le public reste hanté par l’œuvre originelle. Les témoignages affluent encore aujourd’hui, révélant des traumatismes durables qui défient le temps.
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« Pour ma part, c’est le film qui m’a fait le plus peur », confesse l’internaute « On regarde quoi aujourd’hui ». Son témoignage glace le sang : « Alors que je vivais en Guadeloupe, j’ai attendu d’avoir 14 ans pour prendre mon courage à deux mains et me baigner dans la mer, tant les requins me terrorisaient à cause du film. »
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Quatorze ans d’une peur viscérale. Quatorze ans à fuir les eaux turquoise des Caraïbes à cause d’un film. Cette confession résume l’impact phénoménal de l’œuvre de Spielberg sur toute une génération.
L’internaute poursuit son analyse : « Ce film a eu un impact sur les gens, le cinéma, et même sur l’éradication tragique des requins… bref, sur la société entière. » Car la terreur dépasse l’écran. Elle sculpte les comportements, influence les politiques, transforme notre rapport à l’océan.
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Chrischambers86 décortique la mécanique de cette peur : « Avec un sens du suspense consommé, il joue sur la psychose engendrée par les requins, suggère plus qu’il ne montre la créature et signe une œuvre phare avec la musique de John Williams, l’une des plus terrifiante du 7ème art ! »
Cinquante ans après, cette musique fait encore frissonner. Deux notes suffisent. Le génie absolu.
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