Et si l’infidélité s’écrivait dans nos gènes ? Une étude australienne sur 7 300 jumeaux révèle un lien troublant entre hérédité et comportements extraconjugaux. Le gène AVPRIA, producteur d’une hormone clé des liens sociaux, se retrouve chez 63% des hommes et 40% des femmes infidèles. Alors que la science explore ces mécanismes biologiques chez l’humain… et les rongeurs, une question brûlante émerge : comment expliquer ce déterminisme génétique sans nier notre libre arbitre ?
63% des hommes et 40% des femmes infidèles ont ce gène… La révélation qui divise la science sur l’infidélité
