En Belgique, un simple « bonjour » en français a déclenché une procédure judiciaire contre un contrôleur de train. Cette affaire révèle les tensions linguistiques qui divisent le pays et questionne des lois d’une rigidité surprenante. L’agent ferroviaire, désormais au cœur d’une polémique nationale, dénonce une « fermeture d’esprit » institutionnelle.
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Un « bonjour » en français peut-il vraiment valoir une plainte officielle…
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