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À 33 ans, elle dépense plus d’un million d’euros pour obtenir 45 cm de tour de taille

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Image d’illustration © Buzzday

Business De L’Extrême Et Mise En Garde Médicale

Ces chaînes, Aleira les transforme en opportunité commerciale. La mannequin ne subit plus sa condition : elle la monétise. Son calvaire quotidien devient sa nouvelle source de revenus.

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Elle lance sa propre marque de vêtements amincissants. L’objectif affiché ? « Aider les gens à obtenir une silhouette semblable à la sienne ». L’ironie frappe : celle qui ne trouve rien à sa taille crée des vêtements pour reproduire son problème chez les autres.

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Sa philosophie dérange autant qu’elle interpelle. Pour cette créatrice de contenu, toutes les femmes « devraient recourir à la chirurgie esthétique pour être vraiment belles ». Cette vision radicale de la beauté féminine fait froid dans le dos. Le conseil vient de celle qui a dépensé plus d’un million d’euros pour son physique.

Mais la réalité médicale rattrape le marketing. Les spécialistes de santé tirent la sonnette d’alarme. Ils déconseillent formellement de réduire sa taille de cette manière. Les risques pour la santé sont bien réels, contrairement aux promesses commerciales.

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Le Daily Star rappelle une évidence troublante : les déclarations d’Aleira doivent être prises avec des pincettes. Entre business florissant et danger médical, la frontière s’estompe dangereusement.

Cette contradiction résume tout : l’extrême corporel rapporte gros, mais à quel prix pour celles qui tentent de suivre ? Le succès commercial d’Aleira repose sur une méthode que la médecine condamne unanimement.

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