À 39 ans, Jennifer Tyburski découvre qu’elle est atteinte d’un cancer papillaire de la thyroïde. Ce diagnostic survient malgré des analyses sanguines normales, un paradoxe qui interroge. Comment comprendre ce décalage entre symptômes et résultats médicaux ? Ce que révèle son parcours éclaire un signe avant-coureur souvent méconnu, essentiel à ne pas négliger.
À 39 ans, elle attribuait sa fatigue extrême au stress : le cancer de la thyroïde qu’elle n’avait pas vu venir
