
Image d’illustration © Buzzday
La Piste Du Chien S’Arrête Brutalement
Deux heures après l’alerte, les gendarmes arrivent avec leur atout majeur : un chien pisteur. L’animal renifle les vêtements d’Iwona, capte son odeur, puis se lance sur ses traces. L’espoir renaît. Le maître-chien et son compagnon suivent une piste claire qui quitte le domicile familial.
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Direction Serémange-Erzange, à quelques kilomètres de Fameck. Le chien progresse avec assurance, le museau au sol, guidé par l’odeur invisible de la disparue. Les enquêteurs le suivent, convaincus de tenir enfin un élément concret. La trace les mène droit vers un arrêt de bus.
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Puis, brutalement, tout s’arrête. Le chien tourne en rond, perd le fil, s’agite. Sa piste s’évapore net à cet endroit précis. Comme si Iwona s’était volatilisée une seconde fois. Les gendarmes scrutent les lieux, interrogent les riverains, fouillent les environs. Rien.
L’enquête révèle un détail troublant : Iwona n’avait emporté ni ses papiers, ni son téléphone portable, ni même ses clés de maison. Juste ses vêtements sur le dos pour cette cigarette qui devait durer quelques minutes. Un départ si spontané qu’il exclut toute préméditation.
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L’arrêt de bus devient l’épicentre de l’enquête. Qu’est-elle venue faire là ? A-t-elle pris un transport ? Rencontré quelqu’un ? Les questions se multiplient tandis que la piste la plus prometteuse vient de s’éteindre.