À 62 ans, il attend son ennemi à la sortie d’un parc et tire : « Il était libre alors que mon fils… »

Rocca Di Papa : L’Exécution Froide D’Une Vengeance Longuement Mûrie

Mardi matin, Guglielmo Palozzi passe à l’acte. Direction Rocca di Papa, au sud de Rome. Sa cible : Franco Lollobrigida, l’homme qui a tué son fils et qui vient de retrouver sa liberté.

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L’éboueur de 62 ans connaît les habitudes de sa proie. Il l’attend patiemment à la sortie d’un parc public. Pas de hasard dans ce choix, pas d’improvisation. Tout a été calculé, pesé, planifié.

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Lollobrigida apparaît. Palozzi s’approche. Quelques mots sont échangés. Puis l’homme qui a perdu son fils sort un revolver de sa poche. Franco Lollobrigida comprend. Il tente de s’enfuir, mais il est trop tard.

Un coup de feu claque dans le parc. La balle frappe l’homme en fuite dans le dos et perfore directement le cœur. Pas de tir de sommation, pas d’hésitation. Guglielmo Palozzi a visé juste, visé pour tuer.

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Les secours arrivent rapidement sur les lieux. Trop tard. Franco Lollobrigida gît au sol, mort sur le coup. Cinq ans après avoir tué Giuliano Palozzi pour 25 euros, il paie de sa vie.

Guglielmo Palozzi ne fuit pas. Il attend calmement les forces de l’ordre. Interpellé peu après les faits, il est inculpé pour homicide volontaire. La justice qu’il appelait de ses vœux, il vient de se la rendre lui-même.

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