
Image d’illustration © Buzzday
L’Intervention D’Urgence Qui N’A Pas Suffi
À l’intérieur de la maison, son épouse entend le cri. Elle accourt et découvre l’horreur : son mari gît au sol, en détresse respiratoire. Ses voies aériennes se ferment. Le venin des multiples piqûres fait son œuvre. Chaque respiration devient un combat.
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Sans perdre une seconde, elle compose le 18. Au bout du fil, les secours donnent des instructions vitales : « Commencez immédiatement un massage cardiaque ». La femme s’exécute, les mains tremblantes sur la poitrine de son époux. Elle alterne compressions et insufflations. L’attente paraît interminable.
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Les pompiers de Fismes arrivent en urgence. Ils prennent le relais, déploient leur matériel de réanimation. Compressions thoraciques, défibrillateur, perfusion d’adrénaline. L’équipe se bat contre la montre. « Ils ont poursuivi ce massage cardiaque, mais n’ont pas réussi à le réanimer », explique Damien Landini, directeur général des services de la ville.
Malgré tous leurs efforts, le cœur refuse de repartir. Les toxines ont causé des dégâts irréversibles. Le choc anaphylactique a été trop violent, trop rapide. Après de longues minutes d’acharnement thérapeutique, l’équipe médicale doit se rendre à l’évidence.
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Un homme est mort pour avoir tondu sa pelouse. Dans cette commune de la Marne, l’incroyable vient de se produire.