Un algorithme vieux de 2500 ans a parlé. La science décerne son titre tant convoité à Aaron Taylor-Johnson, révélant un secret anatomique qui pulvérise les standards de beauté. Derrière ce classement annuel du Dr De Silva se cachent des mesures millimétrées, des scores vertigineux… et des failles insoupçonnées. Comment l’interprète de Kraven le Chasseur a-t-il devancé les plus grands noms d’Hollywood ? Et que dissimule cette étude entre formules mathématiques et vie privée sulfureuse ?
La science derrière la beauté parfaite
Chaque année, le chirurgien plasticien Julian De Silva détermine l’homme le plus beau du monde grâce à une méthode implacable : le Golden Ratio de la beauté de Phi. Cet algorithme mathématique, hérité de la Grèce antique, calcule les proportions faciales idéales avec une précision millimétrique.
Le spécialiste londonien s’appuie sur cette équation vieille de 2500 ans, utilisée jadis pour sculpter les canons esthétiques des statues grecques. En 2024, Harry Styles décrochait la couronne devant Regé-Jean Page, prouvant que ces mesures géométriques transcendent les époques.
« Ce classement n’est pas subjectif : il repose sur des données biométriques vérifiables », rappelle le Dr De Silva. Une approche qui mêle archéologie des canons esthétiques et technologie moderne, créant un pont entre Praxitèle et Hollywood.
Le triomphe d’Aaron Taylor-Johnson sous la loupe des experts
Avec un score record de 93,04%, l’acteur britannique surclasse Lucien Laviscount (Emily in Paris), Robert Pattinson et Paul Mescal dans ce classement 2025. Son atout principal ? Une morphologie faciale qui frôle la perfection selon les calculs du Golden Ratio.
La forme de son visage obtient un résultat exceptionnel de 99,2%, suivi par les proportions de son nez (98,8%) et de son menton (95%). « Ce qui rend Aaron si exceptionnel, c’est la forme générale de son visage qui pulvérise les records », souligne Julian De Silva. Des mesures qui expliquent sa première place devant des icônes hollywoodiennes.
Le chirurgien précise : « La largeur et la longueur de son nez sont également presque parfaites ». Un équilibre biométrique qui propulse l’interprète de Kraven le Chasseur au sommet, loin devant le charme romantique de Laviscount ou l’intensité de Pattinson.
Le revers de la médaille : des failles dans l’armure parfaite
Malgré son score impressionnant, l’analyse révèle des faiblesses inattendues chez le lauréat. L’espacement des yeux (89%) et la distance nez-lèvres (89,6%) obtiennent des résultats moins éclatants, tandis que ses lèvres plafonnent à 86% – seuil minimal pour ce classement.
« Tous ses scores sont très bons, à l’exception de ces trois critères », tempère Julian De Silva. Une réalité qui nuance le tableau idyllique : même le visage le plus harmonieux d’Hollywood cache des disproportions mesurables au millimètre près.
Le chirurgien relativise ces écarts : « La largeur et la longueur de son nez sont presque parfaites ». Preuve que les légères imperfections s’effacent devant une morphologie globale exceptionnelle, selon les strictes lois du nombre d’or.
Une star au-delà des caméras : parcours et vie de famille
Revelé par Kick-Ass en 2010, Aaron Taylor-Johnson s’impose d’abord en incarnant John Lennon dans Nowhere Boy. L’acteur confirme son statut hollywoodien grâce à Avengers : Age of Ultron, avant d’enchaîner les blockbusters comme Bullet Train et Kraven le Chasseur.
Côté vie privée, le Britannique partage sa vie avec la réalisatrice Sam Taylor-Wood, de 24 ans son aînée. Le couple, marié depuis 2012, élève deux enfants nés en 2010 et 2012. Une histoire d’amour discrète qui contraste avec l’exposition médiatique des grandes stars.
Du culte de la performance physique au Slow Horses Jack Lowden, Taylor-Johnson incarne une génération d’acteurs polyvalents. Son titre de « plus bel homme du monde » vient couronner une carrière bâtie entre rôls fracassants et choix artistiques audacieux.
