Dans le monde du journalisme, certains professionnels se démarquent par leur curiosité insatiable et leur passion pour l’actualité. C’est le cas de Bertrand, un reporter toujours à l’affût du moindre scoop, qu’il s’agisse de football, de showbiz ou de politique. Son esprit vif et son œil aiguisé lui permettent de dénicher des histoires captivantes, souvent cachées derrière les gros titres.
Aujourd’hui, Bertrand nous emmène dans les coulisses du petit écran, où la série à succès « HPI » continue de fasciner les téléspectateurs. Mais au-delà des intrigues palpitantes qui se jouent à l’écran, c’est une anecdote surprenante du monde du cinéma qui a attiré son attention. Une histoire qui met en lumière les risques parfois inattendus du métier d’acteur, même pour les stars les plus expérimentées.
Un jeudi soir sous le signe de « HPI »
Ce jeudi soir, TF1 offre à ses téléspectateurs un double épisode de la série phénomène « HPI ». Un rendez-vous que les fans de l’émission attendent avec impatience, d’autant plus que la première partie de la saison 4, diffusée entre mai et juin, a conquis plus de 7 millions de téléspectateurs. Un succès qui ne se dément pas, et dont une grande part revient à la talentueuse Audrey Fleurot, véritable pierre angulaire de la série.
L’actrice, qui a posé ses valises en Normandie avec son compagnon Djibril Glissant, s’investit corps et âme dans ce projet. Depuis plusieurs années, « HPI » occupe une place centrale dans sa carrière, au point que sa dernière apparition sur grand écran remonte à 2022. C’est précisément ce film, « La très très grande classe » de Frédéric Quiring, qui va nous intéresser aujourd’hui.
Quand le cinéma dérape
Dans cette comédie, Audrey Fleurot donne la réplique à Melha Bedia, la sœur du célèbre humoriste Ramzy. Les deux actrices incarnent des professeures rivales, et le scénario prévoit une scène de bagarre entre leurs personnages. Soucieuses de rendre cette confrontation la plus crédible possible, elles ont insisté pour préparer minutieusement la séquence avec l’aide de cascadeurs professionnels.
C’est lors de ces répétitions que l’incident s’est produit. Comme l’explique Audrey Fleurot dans une interview accordée à M6 : « On est des pros. On avait envie que cette bagarre ressemble vraiment à une bagarre. On n’avait pas envie d’un pauvre crêpage de chignon. Donc nous avons répété avec des cascadeurs dans une salle avec des matelas adéquats. Mais au tout début des répétitions, Melha s’est blessée. » Une déclaration que Melha Bedia complète avec humour : « Elle m’a défoncée ! »
Des conséquences inattendues
Ce qui semblait être au départ une simple blessure s’est avéré bien plus sérieux. Melha Bedia a en effet subi une rupture des ligaments croisés, une blessure fréquente chez les footballeurs et qui nécessite généralement une rééducation d’au moins six mois. L’incident a entraîné toute une série de complications : « IRM, chaise roulante, béquilles, assurance… », énumère Audrey Fleurot, visiblement encore marquée par cet épisode.
Malgré la gravité de la blessure, le tournage a pu reprendre assez rapidement. Cette mésaventure, qui aurait pu avoir des conséquences bien plus graves pour la production, s’est finalement transformée en une anecdote cocasse que les deux actrices peuvent aujourd’hui raconter avec le sourire. Elle illustre parfaitement les risques inhérents au métier d’acteur, même dans des situations apparemment anodines.