Adil Rami crée la polémique lors de la dernière émission de Danse avec les stars (DALS) sur TF1. Alors que le prime-time bat son plein, une blague de l’ancien footballeur provoque un malaise en direct, poussant la production à réagir immédiatement. « On ne peut pas tolérer… », lâche un membre de l’équipe, déclenchant une vague de spéculations sur les réseaux sociaux. L’incident relance le débat sur les limites de l’humour dans les émissions en direct.
Un malaise en direct lors du prime de Danse avec les stars
Ce samedi 23 mars 2024, l’émission DALS bascule dans l’imprévu. Alors que le prime-time bat son plein sur TF1, Adil Rami, connu pour son humour décalé, lance une vanne en réponse aux critiques du jury. Le plateau, d’abord électrisé par la compétition, se fige brutalement. Les caméras captent les regards échangés entre les producteurs, tandis qu’un technicien murmure dans un micro : « Coupez si ça dérape ».
La séquence, diffusée en léger différé, montre l’ancien footballeur sourire avant de lancer sa pique. L’ambiance passe de festive à tendue en quelques secondes. Les téléspectateurs perçoivent un flottement inhabituel chez l’animateur Cyril Féraud, habituellement maître du timing. En coulisses, plusieurs sources confirment à Buzzday que la blague concernait un sujet sensible évoqué en amont lors des répétitions.
La blague qui a fait déborder le vase
Selon plusieurs témoins présents sur le plateau, Adil Rami réagit aux commentaires du jury par une réplique liée à un sujet personnel d’un membre de l’équipe. « Vous critiquez ma valse, mais ça reste plus coordonné que votre gestion des … », lance-t-il en fixant la caméra, avant que le son ne soit légèrement atténué en direct. Les juges Chris Marques et Fauve Hautot esquissent un sourire gêné, tandis qu’un technicien coupe brièvement le plan large pour un gros sur les danseurs.
Les équipes de TF1 précisent à Buzzday que le thème évoqué avait été « formellement déconseillé » en amont, lors des briefings de sécurité éditoriale. Une source proche de la production révèle : « On lui avait demandé d’éviter trois sujets précis. Il a contourné l’interdiction avec un sous-entendu ». Les téléspectateurs, eux, s’interrogent sur les mots étouffés par le montage final.
TF1 et la production de DALS tranchent
La chaîne publie un communiqué ce dimanche matin pour « rappeler le cadre strict » des interventions des candidats. « Certains passages ont été ajustés en différé pour respecter la dignité des personnes concernées », explique-t-elle, sans confirmer de sanction contre Adil Rami. Une source interne précise à Buzzday : « L’équipe a suivi le protocole prévu : alerte en régie, adaptation du montage final, debriefing post-émission ».
La production justifie sa réaction par des clauses contractuelles incluant « l’interdiction des attaques personnelles ». Alexia Laroche-Joubert, cheffe de l’entertainment chez TF1, insiste : « Nos briefings sécurité sont rappelés avant chaque live. L’improvisation ne doit pas nuire aux valeurs du groupe ». Le service juridique aurait été saisi pour étudier d’éventuelles suites.