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Affaire Émile : L’ex-agent de la CIA au don troublant balance sur le silence des autorités : « Ils ont préféré étouffer l’affaire… »

Julie K.
7 Min de lecture

Les preuves scientifiques qui relancent le mystère

Les expertises du crâne d’Émile bouleversent l’enquête en mars 2025. Les médecins légistes identifient un « traumatisme facial violent » et prouvent que le corps n’a pas pourri en forêt : « Il a séjourné dans un endroit stérile, couvert, à l’abri des intempéries », explique Damien Delseny, expert judiciaire. Cette découverte valide partiellement les dires de Dames sur un déplacement post-mortem, mais aucun lien formel avec le 5 chemin de Demontzey n’est établi.

Les gendarmes multiplient alors les fouilles ciblées : perquisition de la chapelle du hameau, analyse d’une jardinière suspecte, examen des « lieux couverts » évoqués par Dames. Pourtant, 80 % du corps reste introuvable. « Le froid d’un congélateur aurait ralenti la décomposition, mais aucune trace organique n’a été détectée », précise une source proche du dossier. Ces contradictions alimentent les spéculations sur un possible meurtre ritualisé ou l’implication d’un proche.

Les zones d’ombre persistantes : politique vs vérité ?

Malgré l’arrestation puis la libération des grands-parents maternels en mars 2025, l’enquête piétine. Le suicide du père Claude Gilliot, intervenu quelques jours avant leur garde à vue, ajoute au mystère. « Pourquoi n’avoir jamais auditionné Dames ? », s’interrogent des internautes, tandis que des élus locaux évoquent une « protection de l’image touristique » des Alpes-de-Haute-Provence.

Les experts soulignent pourtant des incohérences : « Si le crâne a été déplacé, qui a attendu neuf mois pour le déposer en forêt ? », questionne une source judiciaire. Malgré les demandes de transparence, le parquet d’Aix-en-Provence maintient son secret instruction, alimentant les théories les plus folles. Une certitude : l’Affaire Émile n’a pas encore livré son dernier chapitre.