44% de risques en plus : ce chiffre méconnu révèle un angle mort des campagnes sur l’alcool et la grossesse. Alors que les recommandations ciblent traditionnellement les futures mères, une vérité scientifique émerge sur le rôle-clé des pères bien avant la conception. Comment expliquer ces malformations cardiaques ou retards cognitifs chez des enfants dont la mère était abstinente ? La réponse se niche dans un délai critique de trois mois – et une consommation parfois minimale. Un impératif biologique qui redéfinit radicalement la prévention.
Alcool avant la grossesse : +44% de risques si les pères ignorent ce délai crucial avant la conception
