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Amanda Lear, ex-muse de Dalí, balance tout sur C à vous : « La vérité est chiante ! », les révélations qui ont électrisé le plateau

Julie K.
7 Min de lecture

Confessions intimes : dans l’intimité de Dalí, Bowie et les excès disco

« Salvador hurlait comme un hyène en peignant ! » révèle Amanda Lear, décrivant les nuits folles passées aux côtés du maître surréaliste. Elle évoque aussi David Bowie avec une tendre ironie : « On inventait des interviews bidons pour embêter les journalistes. Lui adorait jouer les extraterrestres ! ». Des confidences entrecoupées de rires, comme lorsqu’elle balance sur le Botox : « J’ai arrêté quand mon teckel a commencé à aboyer devant mon visage ! ».

L’icône lève aussi le voile sur les années disco et leurs débordements : « Entre Paris et le Studio 54, on vivait dans un rêve éveillé… ou une gueule de bois permanente ! ». Sans regret mais avec lucidité, elle analyse l’époque : « On croyait être immortels. La coke, le champagne, les nuits blanches… Le compte en banque en prenait un coup, mais quel spectacle ! ». Un mélange de nostalgie et d’autodérision qui captive autant qu’il déroute.

Mythomane assumée : le jeu perpétuel entre vérité et mensonge

« Je mens tout le temps, c’est ma manière de rendre la réalité plus intéressante ! » assène Amanda Lear, transformant l’aveu en manifeste artistique. Une stratégie rodée depuis les années Dalí : entretenir le flou sur son âge, son passé, voire ses rencontres légendaires. « Si vous voulez des certitudes, lisez un dictionnaire. Moi, je fais du spectacle ! » lance-t-elle en riant aux chroniqueurs médusés.

Son héritage ? Une carrière bâtie sur l’ambiguïté assumée. « Ma vraie œuvre d’art ? C’est moi ! » clame celle qui a inspiré Bowie pour son personnage de Ziggy Stardust. À 88 ans, Amanda Lear persiste : « Je serai une énigme jusqu’à mon dernier souffle. Et même après, je vous laisserai des mensonges à démêler ! ». Une promesse de spectatrice éternelle, là où tant d’artistes ne deviennent que des archives.