Anne-Sophie Lapix au 20H de France 2 : Les plans sur ses jambes dévoilés, jamais vu celles de David Pujadas…
La journaliste fait ses grands débuts à la présentation du journal de 20 heures de France 2 ce lundi 4 septembre, mais c’est un détail inattendu qui vole la vedette : les plans de coupe répétés sur ses jambes, soulignés par une robe bordeaux courte, déclenchent une polémique. Alors que l’audience devance celle de TF1, Le Monde et des téléspectateurs s’interrogent sur ces choix de cadrage, contrastant avec l’ère Pujadas : « Jamais vu celles de David Pujadas… », ironise un internaute. Entre critiques sur le sexisme supposé et applaudissements pour son dynamisme, Anne-Sophie Lapix incarne malgré elle un débat bien plus large.
Une rentrée sous les projecteurs : Anne-Sophie Lapix s’empare du 20H de France 2
Ce lundi 4 septembre, Anne-Sophie Lapix présente pour la première fois le journal de 20 heures sur France 2, vêtue d’une robe bordeaux dévoilant ses épaules hâlées. L’audience, prometteuse avec 2,7 millions de téléspectateurs, permet à la chaîne publique de devancer TF1. Un succès qui masque mal les réactions immédiates sur son style : si certains saluent son énergie héritée de « C à vous », d’autres pointent « trop de plans de coupe » lors des transitions.
Le contraste avec son prédécesseur David Pujadas saute aux yeux : là où l’ancien présentateur incarnait l’homme-tronc classique, Lapix multiplie les déplacements et interactions dynamiques. Mais ce qui marque les esprits, c’est la répétition des zooms sur ses jambes, mises en valeur par une robe s’arrêtant au-dessus du genou. « On en a presque oublié l’info », résume un tweet, alors que le premier JT devient viral pour des raisons inattendues.
Les plans de coupe qui divisent : zoom sur les jambes de la présentatrice
Dès le lendemain du JT, Le Monde relève des « plans malheureux » montrant Anne-Sophie Lapix consultant ses fiches en plan serré, brisant l’illusion du dialogue naturel. Le journal ironise sur ces « fausses conversations debout », tandis que les réseaux sociaux s’enflamment : « Les zooms sur ses jambes étaient épuisants », assène un tweet. D’autres pointent un double standard, comme cet internaute choqué : « Pourquoi ne montrait-on pas les jambes de Pujadas ? ».
La polémique révèle un clivage générationnel. Si certains saluent une esthétique moderne (« C’était sexy surtout sur ses jambes ! »), d’autres y voient un manque de professionnalisme. Le contraste avec l’ère précédente est criant : David Pujadas, resté célèbre pour son immobilité de « homme-tronc », n’a jamais suscité de débats sur son apparence. Un détail résume tout : « Jamais vu celles de David Pujadas… », résume un commentaire devenu viral.
Le débat sur le sexisme dans les médias : une polémique qui dépasse France 2
La polémique autour des plans de coupe relance un vieux débat : les critiques sur l’apparence des femmes journalistes sont-elles systématiquement plus virulentes ? En 2024, une étude du CSA révélait que 73 % des commentaires négatifs visant des présentatrices concernaient leur tenue ou leur physique, contre 12 % pour leurs homologues masculins. Des chiffres qui résonnent avec les tweets ciblant Lapix : « On parle de ses jambes, pas de ses questions », déplore une universitaire.
Des voix s’élèvent pour dénoncer un double standard. « Personne n’a jamais demandé à Pujadas de raccourcir son pantalon », ironise une chroniqueuse sur France Inter. Du côté de France 2, des salariés confient sous couvert d’anonymat : « Le cadrage était maladroit, mais on n’aurait pas ces remarques si c’était un homme. » Une syndicaliste ajoute : « C’est le piège des présentatrices : soit trop guindées, soit trop séduisantes. »
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