Un drame soudain frappe un établissement scolaire en Corée du Sud. Un jeune homme de 18 ans a attaqué au couteau plusieurs personnes dans un lycée de Cheongju, faisant cinq blessés dont trois dans un état grave. Le directeur de l’établissement figure parmi les victimes les plus sérieusement touchées, poignardé à l’abdomen lors de cette agression survenue en début de matinée. Ce qui s’est déroulé dans les minutes suivant l’attaque révèle comment les autorités ont géré cette situation de crise dans un pays habituellement considéré comme l’un des plus sûrs au monde.
Attaque au lycée de Cheongju : Chronologie des faits et premier bilan
Un événement dramatique a secoué la ville de Cheongju, en Corée du Sud, ce lundi 28 avril 2025. Un jeune homme a mené une attaque au couteau au sein d’un lycée, provoquant la panique et blessant plusieurs personnes. Les faits se sont déroulés en matinée, posant la question de la sécurité dans des établissements scolaires réputés sûrs.
L’agression s’est produite aux alentours de 8h36 locales (23h36 GMT), dans un lycée situé à Cheongju, une ville à environ 110 kilomètres au sud de la capitale Séoul. L’alerte a été donnée rapidement. Selon un communiqué de la police de la province de Chungbuk, les forces de l’ordre ont été informées qu’« un élève avait poignardé quelqu’un dans une salle de classe avec un couteau ». L’utilisation d’une arme blanche en plein cœur d’un établissement scolaire a immédiatement déclenché une intervention d’urgence.
Le bilan initial fait état de plusieurs victimes. Trois personnes ont été grièvement blessées au cours de l’attaque. Parmi elles figure le directeur de l’établissement, touché par plusieurs coups de couteau à l’abdomen. Deux autres individus ont également subi des blessures plus légères, dont une femme qui aurait été étranglée. Le suspect, un jeune homme de 18 ans, a lui aussi été légèrement blessé.
L’intervention des forces de l’ordre a été rapide. Le suspect a été appréhendé seulement 12 minutes après le signalement de l’attaque. Il avait tenté de s’enfuir vers un parc voisin, allant même jusqu’à sauter dans un lac avant d’être maîtrisé. Transporté à l’hôpital pour ses blessures légères, il a ensuite été placé en garde à vue. L’enquête débute à peine pour déterminer les motivations derrière cet acte. Un responsable de la police locale a déclaré à l’AFP : « Nous essayons de déterminer les détails et le mobile » de cette attaque.
Cet événement tragique survient quelques mois seulement après une autre attaque mortelle dans une école primaire, impliquant cette fois une enseignante. Bien que la Corée du Sud soit généralement considérée comme un pays très sûr, avec un taux d’homicide de seulement 1,3 pour 100 000 habitants en 2021 (chiffre bien inférieur à la moyenne mondiale de six décès pour 100 000 habitants), ces incidents récents soulèvent des préoccupations. Comment expliquer de tels actes dans un pays à faible criminalité, et quelles pourraient être les conséquences de cette attaque sur le sentiment de sécurité ?
Réponse d’urgence et contexte sécuritaire
Au-delà du choc initial de l’attaque, l’attention se porte désormais sur le sort des victimes, la rapidité de l’intervention policière et les questions que cet événement soulève quant à la sécurité dans un pays réputé parmi les plus sûrs du monde.
Le bilan de l’agression est lourd pour plusieurs personnes. Trois individus sont dans un état grave, ayant subi des blessures sérieuses lors de l’attaque au couteau. Parmi eux figure le directeur de l’établissement, touché à l’abdomen par plusieurs coups. Deux autres personnes ont également été blessées, mais plus légèrement, dont une femme qui aurait été étranglée. Le suspect lui-même a été légèrement blessé au cours des événements.
La réaction des forces de l’ordre a été particulièrement rapide face à cette urgence. Le signalement de l’attaque a déclenché une intervention immédiate, menant à l’interpellation du jeune homme de 18 ans seulement 12 minutes plus tard. Le suspect avait tenté d’échapper aux autorités en se dirigeant vers un parc voisin et en sautant dans un lac, mais il a été rapidement maîtrisé. L’enquête commence tout juste, et les motivations derrière cet acte restent à éclaircir. Un responsable de la police locale a ainsi déclaré à l’AFP : « Nous essayons de déterminer les détails et le mobile » de cette attaque.
Cet événement tragique intervient quelques mois après une autre attaque mortelle survenue dans une école primaire, impliquant cette fois une enseignante. Ces incidents posent question dans un pays généralement considéré comme très sûr. Les statistiques officielles de 2021 indiquent un taux d’homicide de seulement 1,3 pour 100 000 habitants en Corée du Sud, un chiffre nettement inférieur à la moyenne mondiale qui s’élève à six décès pour 100 000 habitants. Pourtant, ces drames récents interpellent et pourraient soulever des préoccupations quant à la sécurité des établissements scolaires.
Interpellation rapide et début de l’enquête
Face à l’urgence de la situation, la réaction des forces de l’ordre a été immédiate, menant à l’interpellation du suspect dans un délai très court. Ce jeune homme de 18 ans, légèrement blessé, a été appréhendé seulement 12 minutes après le signalement de l’attaque. Il avait tenté d’échapper aux autorités en se dirigeant vers un parc voisin, allant même jusqu’à sauter dans un lac, mais sa tentative de fuite a rapidement pris fin.
Après avoir été maîtrisé, le suspect a été transporté à l’hôpital pour soigner ses blessures légères. Parallèlement à sa prise en charge, l’enquête a été lancée afin de faire la lumière sur les circonstances exactes de l’agression et, surtout, sur ses motivations. Un responsable de la police locale a confirmé à l’AFP que les investigations sont en cours, déclarant : « Nous essayons de déterminer les détails et le mobile » de cette attaque. Ces investigations initiales sont cruciales pour comprendre les raisons ayant conduit à un tel acte dans un établissement scolaire.
Contexte sécuritaire et précédents récents
L’attaque survenue au lycée de Cheongju, bien que statistiquement rare, ne constitue pas un événement totalement isolé en Corée du Sud ces derniers mois. Elle s’inscrit dans un contexte où d’autres drames ont déjà touché le milieu scolaire, soulevant des interrogations dans un pays pourtant réputé pour sa faible criminalité.
Quelques mois seulement avant cette agression, un autre incident tragique avait défrayé la chronique. Une enseignante avait mortellement poignardé une fillette de huit ans dans une école primaire. Ce précédent, impliquant également une arme blanche et survenu au sein d’un établissement scolaire, résonne particulièrement avec les événements de Cheongju et interroge sur les facteurs potentiels de ces violences.
Ces actes contrastent fortement avec l’image globale de la Corée du Sud en matière de sécurité. Le pays est généralement considéré comme très sûr. Les statistiques officielles viennent étayer cette perception : en 2021, le taux d’homicide s’élevait à seulement 1,3 pour 100 000 habitants.
Cette donnée place la Corée du Sud bien en deçà de la moyenne mondiale, qui est de six décès par homicide pour 100 000 habitants. Si ces chiffres témoignent d’un niveau de sécurité élevé à l’échelle nationale, les récentes attaques dans des écoles rappellent que même dans les pays les plus sûrs, des événements violents peuvent survenir, posant la question de leur nature et de leur impact sur le sentiment de sécurité publique.
