La Lâcheté Du Beau-Père : Quand L’Indifférence Devient Complicité
Si Sandrine Pissara reste murée dans ses justifications, son compagnon adopte une autre stratégie : le déni total. Lui qui affirmait aimer cette enfant plus que tout garde la tête baissée, accablé par l’évidence des faits.
• annonce •
Car comment peut-on « ne rien remarquer d’anormal » quand une adolescente de 13 ans se promène entièrement nue devant toute la famille ? Comment fermer les yeux sur un corps décharné, comparable aux rescapés de Buchenwald ? L’argument sonne creux face à l’horreur visible.
• annonce •
Les questions du président de cour le poussent dans ses retranchements. Les preuves s’accumulent, implacables. Alors, l’homme finit par craquer et lâche cette confession dévastatrice : « Je n’ai pas été courageux. J’ai laissé faire ! »
Voilà enfin la vérité nue : une lâcheté absolue déguisée en aveuglement volontaire. Il invoque sa consommation d’alcool, prétend avoir été sous la coupe de sa compagne. Des excuses qui peinent à convaincre quand une vie d’enfant était en jeu.
• annonce •
La justice tranche sans appel. Sandrine Pissara écope de la perpétuité pour actes de torture et de barbarie. Son complice passif récolte 20 ans de réclusion pour privation de soins. Deux peines qui sanctionnent autant la cruauté active que l’indifférence criminelle.
Les plus lus aujourd'hui
