
L’Alerte Médicale Qui A Tout Déclenché
Jeudi 17 juillet à l’hôpital de Béziers. Un rendez-vous médical de routine bascule dans l’horreur. Ce jour-là, les parents d’un bébé de 4 mois, habitants d’un village du Biterrois, se présentent pour un suivi habituel.
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Cette famille était surveillée depuis la naissance de l’enfant. Les rendez-vous médicaux réguliers faisaient partie d’un protocole établi. Mais lors de cette consultation, les médecins découvrent des hématomes sur le corps du nourrisson.
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L’alerte est immédiate. Le personnel médical exige une orientation vers l’hôpital pour des examens approfondis. « Les parents se rendent à reculons, après l’insistance du médecin », révèle le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland.
Cette réticence manifeste aurait dû alerter davantage. Car les analyses sanguines pratiquées à l’hôpital vont révéler l’impensable : la présence de cocaïne dans le sang du bébé de 4 mois.
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Un résultat qui transforme instantanément un suivi médical de routine en enquête criminelle. Les hématomes constatés prennent soudain une dimension dramatique. Le personnel hospitalier se trouve face à un cas de maltraitance présumée d’une gravité exceptionnelle.
Cette découverte va déclencher une série d’événements qui dépassera rapidement le cadre médical.
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