1057 hommes en 12 heures : comment une créatrice d’OnlyFans a pulvérisé tous les records érotiques ? Alors que les stars de la plateforme rivalisent d’audace, Bonnie Blue dépasse Lisa Sparks (919 partenaires) et devance Lily Phillips (100 en une journée). Derrière cette performance vertigineuse se cache une méthode implacable… et des remerciements qui font sourciller. Mais comment une telle prouesse a-t-elle été rendue possible ?
OnlyFans : l’incroyable surenchère des records érotiques
Née en 2016, la plateforme OnlyFans a révolutionné l’industrie du divertissement adulte avec son modèle payant. Entre contenus érotiques et performances extrêmes, les créateurs rivalisent d’audace pour se démarquer. La Britannique Lisa Sparks détenait jusqu’ici le record mondial avec 919 partenaires en 24 heures, avant que Lily Phillips ne fasse parler d’elle en couchant avec 100 hommes en une journée.
Mais Bonnie Blue, autre star du réseau, vient de pulvériser ces chiffres. En seulement 12 heures, la jeune Anglaise affirme avoir eu des relations sexuelles avec 1 057 hommes, soit une moyenne vertigineuse de 1,46 partenaire par minute. Un exploit mathématiquement improbable qui interroge sur les méthodes employées. Comment une telle cadence a-t-elle été tenue ? La réponse se niche dans une organisation minutieuse…
Le décryptage de l’exploit : une logistique militaire
Pour réaliser cet exploit chronométré, Bonnie Blue et son équipe ont orchestré une méthode rigoureuse. Les 1 057 participants sont répartis en deux catégories : les privilégiés bénéficient d’un tête-à-tête de 30 à 45 secondes, tandis que les autres forment des groupes de cinq hommes. Ces derniers disposent de deux minutes collectives, soit à peine 24 secondes par individu.
Le compte à rebours est implacable. Chaque homme doit être prêt en un temps record, sous peine de ralentir la cadence infernale. « Tous les hommes ont eu des relations sexuelles avec pénétration avec la star d’OnlyFans, même si certains ont également choisi d’avoir des relations sexuelles orales avec Bonnie », précise le rapport du Metro.
Cette organisation contraste avec les précédentes tentatives. Lily Phillips, qui avait marqué les esprits avec ses 100 partenaires en 24 heures, apparaît presque prudente face à cette nouvelle course contre la montre. La surenchère des performances interroge sur les limites physiques et psychologiques des créateurs de contenu.
12 heures sans répit : l’envers du décor épuisant
L’exploit se révèle aussi éprouvant qu’impressionnant. Sur les 12 heures non-stop, Bonnie Blue ne s’accorde que deux pauses de trois minutes, selon les membres de son équipe. Un marathon physique où chaque seconde compte, sous le contrôle d’une logistique implacable.
Pas moins de 12 employés se relaient pour assurer le bon déroulement de l’événement. Sécurité, gestion du timing… et un poste insolite : le fluffer, chargé de « préparer » les hommes avant leur passage éclair. Le propriétaire des lieux évoque une organisation « complexe », sans divulguer plus de détails sur ces méthodes controversées.
Cette course effrénée soulève des questions sur les conditions de travail des créateurs de contenu. Entre performance extrême et contraintes physiques, l’industrie d’OnlyFans pousse-t-elle ses stars au-delà des limites raisonnables ? Le débat reste ouvert.
« Merci pour les fluides » : la reconnaissance ambiguë de Bonnie Blue
L’ultime remerciement de la star suscite autant de curiosité que son exploit. Sur les réseaux sociaux, Bonnie Blue poste un message sans filtre accompagné des hashtags #bonnieblue et #fyp : « 1 057, ce n’est pas possible sans bénévoles… merci pour les fluides, les gars ». Une formule crue qui résume l’ambiguïté de cet événement entre performance et provocation.
Aucune réaction officielle n’émane des précédentes détentrices de records, Lisa Sparks ou Lily Phillips. Seul indice d’adhésion : les participants relayent massivement le hashtag, suggérant une forme de fierté collective. Sur OnlyFans, où la surenchère devient stratégie marketing, cette reconnaissance « liquide » pourrait faire école.