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Brigitte Macron aux funérailles du Pape : l’experte surprise par sa tenue, « Elle sait pourtant… »

Julie K.
12 Min de lecture

L’adieu au Saint-Père révèle des entorses protocolaires inattendues. Au milieu du recueillement mondial pour les funérailles du pape François, deux personnalités se démarquent pour des raisons étonnantes. Donald Trump et Brigitte Macron attirent l’attention des observateurs, non pour leur présence, mais pour leur apparente transgression des codes vestimentaires stricts imposés par le Vatican. Ce que révèle cette controverse sur le respect des traditions lors des cérémonies pontificales soulève des questions sur la diplomatie protocolaire au plus haut niveau.

Obsèques Pontificales : Quand le Protocole Vestimentaire Fait Débat

Les funérailles d’un souverain pontife constituent un événement d’une solennité rare, rassemblant des dirigeants du monde entier, des membres du clergé et des monarques. Une telle occasion impose un cadre protocolaire strict, particulièrement en ce qui concerne la tenue vestimentaire des participants. Le respect de ce code n’est pas une simple formalité, mais un signe de déférence envers la cérémonie et l’institution représentée.

Le Vatican avait ainsi émis des consignes claires pour cette journée. « Le code vestimentaire était le suivant : costume sombre avec chemise blanche et longue cravate noire pour les hommes, robe noire sobre ou tailleur formel avec voile, foulard ou couvre-chef noir pour les femmes », précise l’article. Ces règles visent à garantir l’unité et la sobriété requises par la nature de l’événement, soulignant l’importance de s’effacer derrière le recueillement et l’hommage rendu.

Pourtant, certains participants de marque ont visiblement choisi de s’écarter de ces directives. Donald Trump, présent aux côtés d’autres personnalités, a opté pour un costume bleu moyen, agrémenté d’un pin’s du drapeau américain, une chemise blanche et une cravate bleue en satin. De son côté, Brigitte Macron, accompagnant le président Emmanuel Macron, a fait le choix de ne pas porter de couvre-chef, laissant ses cheveux blonds coiffés en un brushing volumineux. Ces choix ont rapidement contrasté avec l’uniformité sombre observée chez la plupart des autres invités et ont suscité des réactions sur les réseaux sociaux.

Ces écarts n’ont pas manqué d’être relevés par les observateurs avertis. Jo Hayes, experte en étiquette, a confirmé que ces choix vestimentaires constituaient une entorse aux règles. Elle a déclaré que « Le président Donald Trump et la Première dame française Brigitte Macron ont enfreint les règles d’étiquette en déviant du code vestimentaire officiel lors des funérailles de Sa Sainteté le pape François. » Pour l’experte, de telles tenues sont « inappropriées » car « La politesse veut que l’on respecte le code vestimentaire prévu pour un événement – quel qu’il soit, et surtout un événement aussi significatif que les funérailles d’un pape. »

L’attitude de Brigitte Macron a particulièrement surpris l’experte. « Je suis surprise, car Brigitte Macron est habituellement très respectueuse du protocole », confie-t-elle. Elle ajoute : « En tant que Française, issue d’une nation historiquement marquée par le catholicisme romain, elle connaît certainement l’importance de la règle du voile lors d’événements officiels en présence ou en hommage au Pontife. » Ce contraste avec les autres Premières dames et royales présentes, qui portaient bien un couvre-chef, interroge sur les raisons de ce choix. L’analyse de l’experte ne s’arrête pas là et détaille les nuances de ce manquement protocolaire.

Quand les Tenues Font Entorse au Protocole

Malgré les directives claires édictées par le Vatican pour les funérailles du pape François, les choix vestimentaires de certaines personnalités ont manifestement dérogé aux règles. Quels ont été précisément ces écarts qui ont suscité l’attention et les critiques ?

Parmi les participants, l’ancien président américain Donald Trump a opté pour une tenue contrastant avec le sombre exigé. « Donald Trump a choisi de porter un costume bleu moyen orné d’un pin’s du drapeau américain, une chemise blanche et une cravate bleue en satin », rapporte l’article. Ce choix s’éloigne du costume sombre traditionnel. De son côté, la Première dame française, Brigitte Macron, présente aux côtés du président Emmanuel Macron, a également fait un choix remarqué. « De son côté, Brigitte Macron […] a choisi de ne pas se couvrir la tête », précisant qu’elle arborait un brushing volumineux. L’absence de voile, foulard ou couvre-chef noir, pourtant explicitement mentionnée dans le code vestimentaire pour les femmes, a rapidement été pointée du doigt, notamment sur les réseaux sociaux où les réactions n’ont pas tardé à affluer.

Ces manquements n’ont pas échappé aux experts en étiquette. Jo Hayes, spécialiste reconnue, a analysé ces tenues et son constat est sans appel. Elle affirme que « Le président Donald Trump et la Première dame française Brigitte Macron ont enfreint les règles d’étiquette en déviant du code vestimentaire officiel lors des funérailles de Sa Sainteté le pape François. » Pour l’experte, qualifier ces tenues d’« inappropriées » relève de l’évidence. Elle insiste sur le principe fondamental du respect : « La politesse veut que l’on respecte le code vestimentaire prévu pour un événement – quel qu’il soit, et surtout un événement aussi significatif que les funérailles d’un pape. » Ignorer ces règles dans un tel contexte est perçu comme un manque de déférence envers l’institution et la solennité de l’événement.

Ce qui a particulièrement surpris l’experte, c’est le choix de Brigitte Macron. Elle exprime son étonnement : « Je suis surprise, car Brigitte Macron est habituellement très respectueuse du protocole. » Jo Hayes souligne également le contexte culturel français, historiquement lié au catholicisme, suggérant une connaissance implicite des usages liés aux cérémonies pontificales. « En tant que Française, issue d’une nation historiquement marquée par le catholicisme romain, elle connaît certainement l’importance de la règle du voile lors d’événements officiels en présence ou en hommage au Pontife », précise l’experte. L’absence de couvre-chef contraste d’autant plus qu’elle était l’une des rares Premières dames ou royales présentes à ne pas en porter, soulevant des interrogations sur les raisons de cette décision qui déroge aux attentes.

L’avis tranché d’une experte en étiquette

Face aux choix vestimentaires de Donald Trump et Brigitte Macron lors des funérailles du pape François, le regard des spécialistes du protocole apporte un éclairage précis sur la portée de ces écarts. Comment ces tenues ont-elles été perçues par les experts en la matière ?

Jo Hayes, reconnue dans le domaine de l’étiquette, n’a pas mâché ses mots concernant les tenues observées. Selon elle, il y a eu une violation claire des règles établies. « Le président Donald Trump et la Première dame française Brigitte Macron ont enfreint les règles d’étiquette en déviant du code vestimentaire officiel lors des funérailles de Sa Sainteté le pape François », a-t-elle affirmé. L’experte qualifie ces tenues d’« inappropriées », soulignant un « grand manque de respect » dans ce contexte solennel.

Pour l’experte, le fondement de cette critique réside dans le principe même du protocole lors d’événements officiels. Respecter le code vestimentaire n’est pas une simple formalité, mais une marque de politesse et de considération pour l’événement et les autres participants. « La politesse veut que l’on respecte le code vestimentaire prévu pour un événement – quel qu’il soit, et surtout un événement aussi significatif que les funérailles d’un pape », insiste Jo Hayes. Ne pas s’y conformer, en particulier lors d’une cérémonie d’une telle ampleur internationale, est perçu comme un manquement sérieux aux usages diplomatiques et religieux.

Si les deux personnalités ont été critiquées, l’experte a toutefois exprimé une surprise particulière concernant l’une d’elles, un point qui mérite une analyse plus approfondie.

Brigitte Macron : Un Choix Vestimentaire Qui Interroge

Si les tenues de Donald Trump et Brigitte Macron ont toutes deux fait l’objet de critiques pour leur écart par rapport au protocole, le cas de la Première dame française a suscité une réaction particulière chez les observateurs. Pourquoi son choix de ne pas porter de couvre-chef a-t-il davantage étonné, notamment de la part d’une experte en étiquette ?

L’experte Jo Hayes a exprimé sa surprise face à l’attitude de Brigitte Macron. Elle confie : « Je suis surprise, car Brigitte Macron est habituellement très respectueuse du protocole ». Cette déclaration suggère que ce manquement n’est pas dans les habitudes de la Première dame, qui est généralement attentive aux usages et aux codes lors de ses apparitions officielles. Ce contraste entre son comportement habituel et sa tenue lors des funérailles pontificales soulève des questions sur les raisons de cette dérogation inattendue.

L’experte va plus loin en soulignant le contexte culturel français. Elle estime qu’en raison de l’histoire de la France, marquée par le catholicisme, Brigitte Macron devrait être particulièrement consciente de l’importance de certaines règles protocolaires liées aux cérémonies religieuses. « En tant que Française, issue d’une nation historiquement marquée par le catholicisme romain, elle connaît certainement l’importance de la règle du voile lors d’événements officiels en présence ou en hommage au Pontife », affirme Jo Hayes. Cette connaissance présumée des traditions rend son choix d’autant plus notable.

Le contraste est d’ailleurs flagrant avec les autres femmes présentes. L’experte note que Brigitte Macron n’a pas porté de voile ni de couvre-chef, « contrairement aux autres Premières dames et royales présentes ». La quasi-totalité des autres dignitaires féminines avaient respecté la consigne de se couvrir la tête, rendant l’absence de couvre-chef de Brigitte Macron très visible et l’isolant dans le paysage protocolaire de la cérémonie. L’analyse de l’experte met ainsi en lumière la dimension symbolique forte du choix de Brigitte Macron, perçu comme un écart significatif par rapport aux attentes et aux usages établis.