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Brigitte Macron : Son neveu lève le voile sur le surnom méconnu d’Emmanuel Macron et une confidence familiale inédite

Julie K.
6 Min de lecture

« Pentium 7 » : derrière ce surnom énigmatique se cache un Emmanuel Macron jamais dévoilé au public. La famille Trogneux lève le voile sur l’intimité du couple présidentiel, entre confidences surprenantes et épreuves méconnues. Alors qu’ils relancent leur chocolaterie à Paris, un traumatisme refait surface – l’agression de leur fils en 2023 – et révèle comment les Macron protègent leurs proches. Mais comment une simple anecdote familiale a-t-elle bouleversé leur rapport à la notoriété ? Éléments exclusifs.

« Pentium 7 » : Le surnom surprise réservé à Emmanuel Macron par les Trogneux

L’histoire commence par une révélation qui éclaire d’un jour inattendu les relations familiales du couple présidentiel. Jean-Alexandre Trogneux dévoile pour la première fois le surnom privé donné à Emmanuel Macron lors de leur rencontre : « Pentium 7 ». Un clin d’œil à l’intelligence perçue du futur président, alors jeune professeur de Brigitte Macron.

La famille Trogneux gardait jusqu’ici ce détail anecdotique, révélé dans un entretien à Gala. « Quand « Bibi » nous l’a présenté, on l’a trouvé extrêmement brillant et sympathique. Le courant est passé immédiatement », confie le chocolatier. Brigitte Macron, affectueusement surnommée « Bibi » dans le cercle intime, apparaît comme la clé de voûte de cette première rencontre réussie.

Si l’origine exacte du sobriquet reste mystérieuse, sa persistance dans le temps interroge. Le choix d’une référence aux processeurs informatiques souligne à la fois l’admiration pour ses capacités intellectuelles et une certaine distance ironique propre aux dynamiques familiales. Un équilibre entre respect et complicité qui a marqué leurs échanges bien avant l’accession à l’Élysée.

L’agression de Jean-Baptiste Trogneux : Un tournant pour la famille

Le 2023 marque un épisode traumatique pour les Trogneux : Jean-Baptiste, alors âgé de 22 ans, est agressé devant la chocolaterie familiale d’Amiens. Les coups portés lui causent des blessures à la tête, au visage, au genou et à un doigt. Un acte de violence directement lié à sa parenté avec le couple présidentiel, selon le récit de son père.

Emmanuel Macron réagit immédiatement en défendant publiquement son petit-neveu : « La violence n’a pas place en démocratie. Il a été confronté à la brutalité, à la bêtise… C’est à la justice de se prononcer ». Une prise de position ferme qui précède la condamnation des deux agresseurs à 12 et 15 mois de prison ferme en juin 2023.

Cet événement catalyse un changement profond dans la dynamique familiale. Les Trogneux affirment aujourd’hui avoir retrouvé une certaine sérénité, symbolisée par l’ouverture récente d’une nouvelle boutique parisienne. Pourtant, l’ombre de cette attaque plane toujours, révélant le prix invisible de la proximité avec le pouvoir.

Une chocolaterie parisienne et le soutien discret de Brigitte Macron

La famille Trogneux tourne une page avec l’ouverture d’une nouvelle chocolaterie à Paris, symbole de renaissance après les épreuves. Brigitte Macron se positionne comme leur première ambassadrice, suivant de près ce projet qui dépasse le cadre familial. « Elle est ravie pour nous et compte bientôt nous rendre visite », confie Jean-Alexandre Trogneux à Gala.

Mais la Première dame temporise son implication publique : « Pour l’instant, elle tient à nous laisser tranquilles, car on a beaucoup de travail ». Une discrétion calculée pour préserver l’entreprise des projecteurs médiatiques, tout en maintenant un soutien moral tangible.

Ce lancement parisien cristallise la résilience d’une famille marquée par l’agression de 2023. Derrière les vitrines élégantes se cache un double défi : pérenniser un héritage artisanal centenaire tout en naviguant dans l’orbite sensible du pouvoir présidentiel.

« Aucun lien avec la politique du président » : Le combat des Trogneux pour leur indépendance

La famille Trogneux affine depuis 2018 une stratégie de distanciation face aux critiques liées à Emmanuel Macron. « À partir de cette date, certains regards ont changé », constate Jean-Alexandre, évoquant les jugements ambivalents suscités par leur parenté présidentielle. Un phénomène amplifié par l’agression de 2023, qui devient paradoxalement un tournant médiatique.

Le chocolatier insiste sur une distinction cruciale : « Beaucoup ont compris que nous n’avons aucun lien avec la politique du président ». Une clarification rendue nécessaire par les amalgames persistants, malgré leur activité centrée sur le chocolat depuis six générations.

L’unité familiale reste leur rempart face aux tempêtes. « Jamais je n’aurais imaginé un tel destin », conclut Jean-Alexandre à propos d’Emmanuel Macron, soulignant l’écart entre l’homme privé surnommé « Pentium 7 » et le chef d’État controversé. Une dualité qui résume leur défi permanent : cultiver des liens affectifs tout en préservant leur identité propre.