« J’en Tremble Encore » : Le Traumatisme Des Visiteurs
Face à cette scène d’horreur, les mots manquent. Marion tente de détourner le regard, mais l’image s’est déjà imprimée dans sa mémoire. « Il s’est fait piétiner par l’un des chevaux », constate-t-elle, la voix brisée par l’émotion. Son mari, témoin de la même scène, lui lance immédiatement : « Ne regarde pas ».
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Mais comment oublier ? Comment effacer ces quelques secondes qui ont transformé une paisible visite familiale en cauchemar ? « J’en tremble encore », avoue Marion, plusieurs heures après le drame. Cette phrase résume l’état de choc qui frappe l’ensemble des témoins présents ce jour-là.
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Car l’impact psychologique dépasse largement le cercle des adultes. Plusieurs enfants ont assisté à la scène, leurs visages marqués par l’incompréhension et la peur. Ces jeunes visiteurs, venus découvrir l’histoire médiévale, repartiront avec des images bien plus sombres gravées dans leur esprit.
L’intensité du traumatisme surprend par sa persistance. Des heures plus tard, les témoins peinent encore à retrouver leurs esprits. Les cris, le sang, la panique générale : autant d’éléments qui composent désormais un souvenir indélébile pour ces familles venues passer un simple moment de détente.
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Cette blessure collective interroge sur la fragilité des moments de bonheur, si vite balayés par le hasard cruel d’un accident.
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