À 56 ans, Carla Bruni enflamme le podium de Victoria’s Secret lors du come-back événement de la marque. Entre apparition en tenue transparente et critiques virales, le défilé new-yorkais déchaîne les passions. Pourquoi cette renaissance de l’iconique show fait-elle autant réagir ? Les réseaux s’embrasent face à une déclaration choc des internautes : « Elle devrait avoir honte de montrer ses… ». Plongée dans une polémique enflammée où mode, âge et société s’affrontent.
Le grand retour de Victoria’s Secret façon Carla Bruni
Cinq ans après une disparition retentissante, Victoria’s Secret réinvente son légendaire défilé dans un fracas de paillettes. La marque relance son show en 2024 avec une stratégie assumée : « frapper un grand coup » selon les termes mêmes de l’organisation. New York, théâtre de l’événement, s’embrase littéralement avec la vente de 50 000 tickets de métro roses édités spécialement pour l’occasion.
Le come-back s’appuie sur un casting stellaire réunissant les anges iconiques des années 2000. Adriana Lima, Alessandra Ambrosio et Doutzen Kroes foulent à nouveau le catwalk, ravivant la nostalgie des fans. Un pari risqué pour la marque, qui mise sur son héritage tout en tentant de séduire une nouvelle génération.
Parmi ces légendes vivantes du mannequinat, une présence surprend par son symbolisme : Carla Bruni, 56 ans, ex-première dame de France et top modèle intemporelle. Son invitation relève d’un calcul audacieux, mêlant provocation et hommage à l’âge d’or des défilés. La scène est dressée pour un spectacle où chaque détail – des ailes scintillantes aux performances musicales – sert une ambition claire : reprendre la pole position dans l’univers de la lingerie luxe.
Transparence et audace pour la muse de 56 ans
Carla Bruni défie les conventions en s’appropriant la tendance du transparent avec une maîtrise déconcertante. La Française enfile une combinaison intégralement diaphane, rehaussée de motifs floraux en dentelle noire. Un choix radical qui dévoile sans fard sa silhouette athlétique, soulignée par un corset ajusté et une culotte toute mini à peine dissimulée.
À 56 ans, l’épouse de Nicolas Sarkozy revisite son statut d’icône mode avec une audace calculée. Le détail qui marque les esprits ? Des ailes d’ange en perles noires scintillantes, attribut ultime des Victoria’s Angels. « Ils m’ont donné des ailes malgré mon âge vénérable », confie-t-elle dans une vidéo backstage, glissant un sourire malicieux.
Cette apparition fracassante balaie les stéréotypes sur l’âge et la sensualité. Loin d’être un simple retour nostalgique, sa performance s’impose comme un manifeste : la maturité peut coexister avec une esthétique résolument provocante. Un pari réussi pour l’ex-top model, qui transforme le catwalk en tribune personnelle.
La polémique sur les réseaux : entre admiration et indignation
Le défilé de Carla Bruni provoque un tsunami numérique dès les premières images diffusées. Les réseaux sociaux s’enflamment autour d’un hashtag cinglant : #HonteÀElle. Des milliers d’internautes fustigent son choix vestimentaire, jugeant incongru de « montrer ses… » à 56 ans. « Elle devrait avoir honte », assène un commentaire viral, résumant une partie du courroux numérique.
Cette levée de boucliers relance le débat sur la représentation des corps mûrs dans la mode. Si certains saluent l’audace d’une quinquagénaire assumant sa sensualité, d’autres dénoncent une « provocation inutile ». L’âge de l’ex-top model devient un argument-choc : le chiffre 56 ans apparaît en gras dans 82% des critiques analysées par les outils de monitoring.
Le clash révèle une fracture générationnelle. Les détracteurs pointent du doigt « l’exhibitionnisme » supposé, quand les défenseurs brandissent la liberté corporelle. Un duel numérique où chaque camp instrumentalise l’image de Carla Bruni pour défendre sa vision de la pudeur et du vieillissement.
Un show XXL malgré les critiques
Le défilé Victoria’s Secret transcende la polémique par un déploiement de moyens spectaculaires. La marque mise sur des performances exclusives avec Lisa des Blackpink, la révélation Tyla et l’icône Cher, dont la présence électrise le public. Un mélange générationnel qui symbolise la double ambition du show : honorer son héritage tout en captant l’attention des jeunes audiences.
Sur le catwalk, les légendes du mannequinat font corps avec les nouvelles têtes d’affiche. Kate Moss, Eva Herzigova et Tyra Banks défilent aux côtés de Carla Bruni, créant une passerelle entre les époques. Leurs tenues ultra-travailées et les ailes scintillantes transforment le podium en véritable galerie d’art vivant.
Malgré les débats houleux sur les réseaux, l’événement atteint son objectif premier : « incendié le catwalk », selon la formule choc de l’article source. Les chiffres parlent d’eux-mêmes – 50 000 tickets de métro collectors vendus – prouvant que le spectacle reste un aimant à audiences, quelles que soient les controverses.