Carlo Ancelotti condamné à un an de prison : la vraie raison de cette lourde sanction

Pas De Prison Ferme Pour Le Nouveau Sélectionneur Du Brésil

Ces perspectives inattendues se concrétisent immédiatement par une réalité juridique favorable : Carlo Ancelotti n’ira pas en prison. Le droit espagnol est formel sur ce point : toute condamnation inférieure à deux ans de prison ferme n’entraîne pas d’incarcération effective. Avec sa peine d’un an, l’entraîneur italien échappe donc aux barreaux.

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Cette clémence légale tombe à point nommé pour celui qui vient de quitter le banc du Real Madrid après quatre années triomphales (2021-2025) pour prendre les rênes de la Seleção brésilienne. Le timing judiciaire aurait pu compromettre cette nomination prestigieuse, mais la justice espagnole lui offre finalement une transition en douceur.

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Le seuil légal des deux ans devient ainsi le garde-fou qui préserve la carrière d’Ancelotti. Cette disposition du code pénal espagnol, conçue pour éviter l’engorgement carcéral, permet à l’Italien de poursuivre sereinement ses fonctions à la tête de l’équipe nationale brésilienne.

Pour le football brésilien, cette issue représente un soulagement certain. La Confédération brésilienne de football peut désormais compter sur un sélectionneur libéré de toute contrainte judiciaire, capable de se consacrer pleinement à la préparation de la Coupe du monde 2026.

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Une condamnation qui, paradoxalement, n’entrave en rien l’avenir professionnel de l’homme aux trois Ligues des champions remportées avec le Real Madrid.