Céline Dion aux JO : le montant astronomique de son cachet dévoilé, «Elle aurait touché…»

Quentin M.
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La controverse s’intensifie

Malgré le démenti officiel du Comité Olympique, la rumeur concernant le cachet de Céline Dion persiste et prend même de l’ampleur. Récemment, le magazine Closer est revenu à la charge, maintenant ses affirmations selon lesquelles la chanteuse canadienne aurait bel et bien reçu une rétribution pour sa performance lors de la cérémonie d’ouverture. Le magazine persiste et signe, avançant le chiffre de 1,5 million d’euros, sans toutefois révéler ses sources.

Face à cette tempête médiatique, Céline Dion reste étonnamment silencieuse. La star, habituellement proche de son public, n’a fait aucune déclaration concernant sa rémunération ou les conditions de sa participation aux Jeux Olympiques. Ce mutisme ne fait qu’attiser la curiosité et alimente les débats sur les réseaux sociaux et dans les médias.

Le syndrome de la personne raide
Cette maladie neurologique rare, dont souffre Céline Dion, se caractérise par une rigidité progressive des muscles du tronc et des membres. Elle peut affecter la mobilité et la voix, expliquant l’absence prolongée de la chanteuse sur scène avant son retour aux JO.

Un débat qui dépasse le cas Céline Dion

La polémique autour du cachet de Céline Dion s’inscrit dans un contexte plus large de questionnements sur les conditions de rémunération des artistes aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Le Syndicat Français des Artistes-interprètes (SFA-CGT) a récemment déposé un préavis de grève pour la cérémonie d’ouverture, dénonçant des « propositions contractuelles inacceptables » qui ne respecteraient pas les conventions collectives et la charte sociale de Paris 2024.

Ce mouvement de contestation met en lumière les difficultés rencontrées par de nombreux artistes, notamment les danseurs et les intermittents du spectacle, engagés pour les différentes cérémonies et animations des Jeux. Les accusations portent sur des conditions de travail précaires, des rémunérations jugées insuffisantes et un manque de transparence dans les contrats proposés.