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C’est pas un monstre… La baby-sitter découvre un homme sous le lit de l’enfant : l’intrus avait un lien secret avec la famille

Julie K.
6 Min de lecture

La communauté sous le choc : mesures de sécurité renforcées

La découverte de l’intrusion provoque une vague d’inquiétude à Great Bend. « On se sent vulnérables », confie une voisine, mère de deux enfants, tandis que des parents installent des caméras de surveillance et renforcent les serrures. Les autorités annoncent des patrouilles policières accrues près des écoles et des zones résidentielles.

Sur les réseaux sociaux, le hashtag #SécuritéEnfants devient viral, avec des témoignages de baby-sitters et des appels à la vigilance. La police locale publie un guide pratique pour sécuriser les maisons : vérifier les accès cachés, éviter les fenêtres ouvertes et alerter au moindre comportement suspect. « Cet incident rappelle que les menaces peuvent venir de l’intérieur », résume un porte-parole.

Monstres imaginaires vs. dangers réels : les leçons d’un cauchemar éveillé

Psychologues et spécialistes de l’enfance rappellent que la peur des « monstres sous le lit » figure dans 78 % des cas chez les 3-8 ans. Mais l’affaire de Great Bend transforme le fantasme en nouvelle frontière anxiogène. « Il faut rassurer sans nier la réalité », explique une thérapeute de l’université Harvard, conseillant aux parents de vérifier ensemble les recoins de la chambre pour reprendre contrôle.

Des cas similaires ont défrayé la chronique aux États-Unis, comme en Floride en 2022, où un intrus s’était caché dans une armoire pendant trois jours. Les associations de protection de l’enfance, alertées par cette recrudescence, militent pour des ateliers de prévention dès l’école primaire. « Apprendre aux enfants à distinguer l’imaginaire du danger concret sauve des vies », insiste un responsable de l’UNICEF, tout en soulignant l’équilibre délicat entre vigilance et préservation de l’innocence.