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Cette découverte va changer votre vision des pleurs de bébé : « C’est à 70% dans les gènes… »

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Sommeil : Quand Les Parents Peuvent Encore Agir Efficacement

Contrairement aux pleurs, le sommeil révèle une réalité différente. L’étude d’Uppsala démontre que les parents conservent un pouvoir d’action significatif sur l’endormissement de leur enfant, du moins initialement.

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À 2 mois, la rapidité avec laquelle un bébé s’endort dépend principalement de facteurs environnementaux. Les habitudes de sommeil instaurées par les parents, le cadre d’endormissement, les rituels nocturnes : autant d’éléments sur lesquels ils peuvent agir concrètement.

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Charlotte Viktorsson précise : « Les efforts des parents pour aider leur enfant à s’endormir ont probablement le plus d’impact au cours des premiers mois ». Cette fenêtre temporelle offre une opportunité d’intervention que les pleurs ne permettent pas.

Cependant, cette influence parentale s’amenuise progressivement. À 5 mois, la génétique reprend ses droits, même pour le sommeil. L’architecture génétique de l’enfant finit par s’imposer, réduisant l’efficacité des stratégies parentales.

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Les réveils nocturnes suivent une logique similaire. L’environnement joue un rôle déterminant au début, puis cède la place aux prédispositions héréditaires. Une évolution qui reflète la maturation rapide du système nerveux infantile.

Les chercheurs suédois poursuivent leur observation jusqu’aux 3 ans des jumeaux. Leur objectif : identifier précisément quels facteurs environnementaux influencent durablement le sommeil. Une recherche qui pourrait révolutionner les approches parentales futures.

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