Une Découverte Scientifique Qui Bouleverse Notre Vision Du Sommeil
L’Académie européenne de neurologie vient de révéler une découverte qui remet en question tout ce que nous pensions savoir sur les risques de santé. En juin dernier, lors du congrès en Finlande, une étude monumentale a été présentée. 180 000 adultes âgés de 26 à 86 ans ont été suivis pendant 19 ans.
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Les résultats défient toute logique médicale traditionnelle. Les cauchemars hebdomadaires constituent désormais un marqueur de mortalité prématurée plus puissant que tous les facteurs de risque connus. Plus puissant que le tabagisme. Plus puissant que l’obésité. Plus puissant qu’une alimentation déséquilibrée ou la sédentarité.
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Le Dr Declercq, qui a dirigé cette recherche, ne mâche pas ses mots : faire des cauchemars chaque semaine constitue un indicateur de mort précoce plus fort que le tabagisme, l’obésité, une mauvaise alimentation ou un manque d’activité physique.
Cette révélation bouscule complètement les priorités de santé publique. Pendant des décennies, les campagnes se sont concentrées sur l’arrêt du tabac, la lutte contre l’obésité et la promotion de l’exercice physique. Mais qui se préoccupe réellement de nos cauchemars ?
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L’étude établit un lien direct entre la fréquence des rêves angoissants et un risque accru de décès prématuré. Une corrélation qui interroge sur les mécanismes profonds que notre cerveau endormi déclenche dans notre organisme.
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