
La Véritable Origine : Une Étude Insee Sur La Sous-Occupation
Cette prétendue directive européenne n’existe pas. La source authentique révèle une tout autre réalité : une étude statistique française publiée le 8 juillet dernier par l’Insee.
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L’enquête, intitulée « Un quart des ménages vivent dans un logement en sous-occupation très accentuée », dresse un constat factuel sans aucune velléité réglementaire. Les chercheurs observent que les ménages français disposent en moyenne de trois pièces de plus que nécessaire dans leur logement.
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L’institut définit précisément la sous-occupation : « au moins trois pièces de plus par rapport aux besoins théoriques ». Ces besoins correspondent à un séjour plus une chambre par couple, une chambre pour chaque habitant majeur, et des chambres séparées pour les frères et sœurs de sexe différent.
La géographie révèle des disparités saisissantes. La Bretagne détient le record national de sous-occupation. À l’inverse, l’Île-de-France échappe largement à ce phénomène, contrainte par la pression immobilière francilienne.
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Cette étude purement descriptive analyse les réalités du parc immobilier français. Aucune recommandation politique n’en découle. L’Insee observe, mesure, mais ne prescrit rien.
Le décalage entre les faits et leur interprétation sur les réseaux illustre parfaitement les mécanismes de déformation de l’information. Une analyse statistique neutre devient soudain une menace autoritaire venue de Bruxelles.
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