
Image d’illustration © Buzzday
Les Risques Sanitaires Confirmés Par La Science
Cette menace a un nom officiel depuis 2006. Le dioxyde de titane porte l’étiquette « cancérigène potentiel » chez l’être humain par inhalation. Dix-neuf ans que les scientifiques alertent. Dix-neuf ans que cette classification inquiétante figure dans les registres officiels.
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La réalité dépasse les pires craintes. Ces nanoparticules ne connaissent aucune barrière biologique. Elles « traversent le placenta », contaminent directement le fœtus dans le ventre maternel. Une transmission directe de la mère à l’enfant, avant même la naissance.
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L’étude de l’INRAE, de l’AP-HP et du CNRS dessine un tableau saisissant. Les chercheurs dénoncent « l’impact de ce relargage massif du dioxyde de titane sur les êtres vivants ». Relargage massif : le terme résonne comme un signal d’alarme.
Car derrière ces contaminations se cache « l’exposition réelle des animaux et humains ». Une exposition quotidienne, invisible, généralisée. Chaque gorgée de lait devient potentiellement dangereuse. Chaque allaitement expose le nouveau-né.
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Les scientifiques transforment cette découverte dramatique en opportunité de recherche. Ce travail « pourra servir de base à de futures études de toxicité ». Une base solide pour mesurer enfin l’ampleur des dégâts.
Mais en attendant ces études complémentaires, une question brûlante demeure : comment protéger efficacement les populations les plus vulnérables de cette contamination généralisée ?
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