Clara Morgane se livre sans filtre sur ses années téléphone rose dans On refait la télé sur RTL. La star révèle des revenus « monumentaux » liés à cette campagne publicitaire des années 2000, qui lui ont permis d’acquérir un appartement parisien de 100m². Alors qu’elle compare ces gains aux salaires des footballeurs, l’ex-chroniqueuse de TPMP annonce aussi la sortie imminente de son album À l’infini, tout en continuant de susciter débat sur son parcours hors norme.
Clara Morgane lève le voile sur ses revenus « monumentaux » du téléphone rose
L’ancienne icône des services surtaxés dévoile dans On refait la télé (RTL) un contrat publicitaire qui a transformé sa vie. Clara Morgane confirme avoir touché une somme suffisante pour s’offrir un appartement parisien de 100 m² en seulement cinq ans, grâce à ces spots diffusés massivement dans les années 2000. « Monumental ! Mais très peu par rapport à ce qu’eux gagnaient », lance-t-elle à Éric Dussart, soulignant le déséquilibre entre ses gains et ceux de l’entreprise promotrice.
L’ex-star du X franchit un pas de plus en comparant cette manne financière aux salaires des footballeurs. « Ce qu’on gagne sur eux, c’est démesuré », argue-t-elle, provoquant l’assentiment de l’animateur : « Ils ne le font pas par philanthropie ». Un parallèle audacieux qui relance le débat sur la rémunération des métiers du divertissement, tandis que l’artiste prépare la sortie de son album À l’infini.
De la célébrité sulfureuse à la reconversion musicale : le parcours de la star
Clara Morgane accumule les vies médiatiques depuis ses débuts polémiques dans le X. Après avoir marqué les esprits comme actrice de films pour adultes, elle devient chroniqueuse dans TPMP, puis se lance dans la musique avec des titres dance en 2004. Un comeback qui se concrétise le 14 février avec son nouvel album À l’infini, annoncé lors de cette même interview sur RTL.
Entre télévision, cabaret et studio d’enregistrement, l’artiste de 44 ans incarne une réinvention permanente. Si son passé dans le téléphone rose fait toujours débat, Clara Morgane assume chaque étape de son parcours : « La boîte n’était pas philanthrope non plus », ironise-t-elle, rappelant le contexte économique de ces contrats polémiques. Un mélange de franchise et de provocation qui maintient sa notoriété intacte.