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Coca-Cola : L’astuce chimique qui empêche de vomir malgré 106g de sucre révélée par un expert… Son effet proche de l’héroïne !

Julie K.
7 Min de lecture

Dents rongées, foie saturé, tension en hausse : l’effet domino d’une canette

La consommation régulière de Coca-Cola déclenche un engrenage silencieux. L’acide phosphorique use l’émail dentaire 5 fois plus vite que les boissons non gazeuses, selon les études citées par le Dr Naik. Dans le même temps, les pics répétés d’insuline – jusqu’à +35% de glycémie en 20 minutes – surchargent le foie, obligé de convertir l’excès de sucre en graisse.

Les effets s’étendent au système cardiovasculaire. La caféine élève la tension artérielle pendant 4 heures après ingestion, tandis que le blocage de l’adénosine perturbe le cycle du sommeil. « Ce cocktail favorise l’obésité, le diabète de type 2 et l’épuisement des organes », résume l’expert. Une spirale que 8 foyers français sur 10 risquent en consommant régulièrement les produits du groupe.

La réponse de Coca-Cola : « Un produit sans danger… avec modération »

Face aux accusations, The Coca-Cola Company maintient son discours. Le géant américain reconnaît la présence de sucre et de caféine dans ses recettes, mais défend leur innocuité « dans le cadre d’une consommation raisonnable ». Son porte-parole rappelle que « les sodas sucrés ont leur place dans un régime équilibré », citant les recommandations sanitaires européennes.

Pourtant, l’entreprise évite soigneusement de préciser ce qu’elle entend par « modération ». Alors que 80% des foyers français consomment ses produits, aucune mention n’est faite des seuils critiques identifiés par le Dr Naik : plus d’une canette par jour suffirait à déclencher les mécanismes addictifs. Un silence qui contraste avec son argumentaire centré sur « la liberté de choix des consommateurs ».