Une série Netflix pulvérise les records en 48h tout en réécrivant l’Histoire. Entre enquêtes victoriennes et combat féministe, cette production transalpine éclipse Bridgerton par son ancrage réel. Les fans, déjà accros, réclament la suite après un visionnage frénétique… sans soupçonner le secret derrière son score parfait de 100%.
Bridgerton version réelle : quand la fiction rencontre l’Histoire
On la compare à l’univers romancé de Bridgerton, mais cette série Netflix puise son inspiration dans une page méconnue du XIXe siècle. Lidia fait sa loi ressuscite le destin exceptionnel de Lidia Poët, première femme italienne autorisée à plaider… avant d’en être illégalement privée en 1883.
La production mêle avec habileté intrigues policières et combat féministe historique, un mélange qui explique son rapprochement avec la saga à succès de Netflix. Mais contrairement aux Bridgerton, chaque enquête s’ancre dans des faits réels romancés, offrant une plongée dans l’Italie victorienne.
« Lidia Poët enquête sur des meurtres et lutte pour exercer le droit », résume sobrement Netflix. Un synopsis qui cache une révolution silencieuse : celle d’une pionnière dont le procès pour exercice illégal du métier d’avocate a marqué l’histoire judiciaire transalpine.
Lidia Poët : une héroïne du XIXe siècle qui fascine le XXIe
Son combat dépasse les écrans : en 1883, Lidia Poët voit sa licence d’avocate annulée par la Cour d’appel de Turin au seul motif de son genre. La série retrace ce fait historique méconnu tout en tissant des intrigues criminelles inspirées de ses dossiers réels.
Ce mélange entre enquêtes policières et plaidoyer féministe crée un paradoxe moderne. Alors que l’Italie victorienne refuse son droit à exercer, Lidia contourne les obstacles en collaborant secrètement avec son frère, lui-même avocat. « Elle lutte pour exercer le droit », rappelle le synopsis officiel, soulignant la dimension intemporelle de ce combat.
Les costumes somptueux et le cadre turinois ne masquent pas l’essentiel : le portrait d’une rebelle en crinoline dont l’audace résonne avec les débats actuels sur l’égalité professionnelle. Une actualité inattendue pour une histoire vieille de 140 ans.
Un succès critique et public sans précédent
100% sur Rotten Tomatoes : la série réalise l’exploit de maintenir ce score parfait pour ses deux premières saisons. Un unanimisme rare qui transcende les frontières, comme en témoignent les milliers de commentaires enthousiastes sur les réseaux.
« J’ai terminé en une semaine. Netflix doit sortir la saison 3 maintenant ! », exige un fan sur X. Les avis Google abondent : « Des intrigues bien ficelées et des costumes magnifiques », souligne un spectateur. Le secret de ce marathon télévisuel ? Six épisodes par saison, conçus pour être dévorés en un week-end.
Cette alchimie entre rythme soutenu et reconstitution historique explique l’engouement massif. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : des épisodes de 50 minutes qui transforment les viewers en détectives compulsifs, incapables de décrocher avant le dernier rebondissement.
Le phénomène binge-watching qui impose sa saison 3
Face à l’engouement massif, Netflix officialise une saison 3 dès décembre 2024. Une décision stratégique confirmée par Tinny Andreatta, vice-présidente du contenu pour Netflix Italie, qui mise sur le potentiel international de cette production transalpine.
Les fans réclament déjà de nouvelles enquêtes : « Vivement la suite ! », implore un commentaire Google. Leur impatience s’explique par le format parfaitement calibré – six épisodes de 50 minutes par saison – qui transforme chaque diffusion en marathon nocturne.
Netflix capitalise sur cet effet boule de neige : chaque visionnage express alimente les discussions en ligne, faisant de Lidia fait sa loi un cas d’école du succès viral. Reste maintenant à savoir si la troisième saison maintiendra ce rythme effréné… et son score historique de 100%.