
Image d’illustration © Buzzday
Portrait D’Une Conductrice À Risque : Malaises Et Déni De Responsabilité
Derrière cette reconnaissance de culpabilité se dessine le profil troublant d’une conductrice de 83 ans. Cette ancienne vendeuse, aujourd’hui veuve, avait tous les signaux d’alarme sous les yeux. Plusieurs malaises récents. Un traitement médical en cours. Pourtant, elle a pris le volant ce 5 juin fatal.
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Le contrôle effectué après l’accident révèle une conductrice sobre. Ni alcool, ni stupéfiants dans le sang. Mais cette absence de substances illicites rend le drame encore plus incompréhensible. Comment expliquer cette conduite à contresens ? Cette vitesse excessive sur une avenue limitée à 30 km/h ?
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L’audience du 1er juillet dévoile une femme désemparée. Absente ce mardi lors du verdict, elle avait tenu des propos confus face aux juges. « J’ai fait un malaise », répète-t-elle. « Je ne me souviens de rien. » Des mots prononcés sans émotion apparente, dans une froideur qui glace l’assistance.
Puis, soudain, les larmes. Face aux familles des victimes, l’octogénaire s’effondre. Elle présente ses excuses, mais ces mots arrivent trop tard. Les signaux d’alerte ignorés, les malaises négligés, la décision fatale de conduire malgré tout.
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Cette tragédie pose une question cruciale : comment éviter qu’une telle situation se reproduise ? Les parents de Margot ont trouvé leur réponse.