Patrimoine, dettes… et petits déjeuners immobiliers : l’autre visage d’Eddie Dilleen
Eddie Dilleen gère 150 propriétés tout en élevant deux enfants avec sa compagne. Son secret ? Un emploi du temps millimétré : inspections de biens à l’aube, réunions avec des courtiers entre deux sorties d’école. « Je vérifie les listings immobiliers en buvant mon café. C’est mon moment sacré », raconte-t-il, admettant une obsession « saine » pour les performances.
Proches et collaborateurs décrivent un homme paradoxal : fortune colossale, mais vie sobre. « Il porte des chemises à 20 dollars et conduit une Toyota », révèle un ami. Son ancien coach en développement personnel ajoute : « Il carbure aux défis. Son seul luxe ? Des vacances en camping-car… pour repérer des terrains à acheter ». Une discipline de fer qui laisse peu de place à l’imprévu, même en famille.
« 30 propriétés avant 30 ans » : le livre-culte qui forme une armée de mini-Dilleen
Eddie Dilleen partage sa méthode dans « 30 Properties Before 30 », un guide vendu à des milliers d’exemplaires. « N’attendez pas d’avoir un salaire parfait. Commencez petit, mais commencez », martèle-t-il, citant son premier achat à 18 ans avec un salaire de McDonald’s. Son conseil choc : « Utilisez 5 courtiers différents. L’un dira toujours oui ».
Des lecteurs témoignent : « J’ai 8 propriétés grâce à ses astuces », confie Jason, 28 ans. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #DilleenChallenge cartonne, avec des acheteurs novices exhibant leurs premières clés. Eddie prépare déjà un deuxième ouvrage sur ses « méthodes secrètes », tout en conseillant le gouvernement australien sur l’accès au logement. Une influence qui inquiète certains experts, mais fascine une génération en quête de richesse rapide.
