Le débat sur la fin de vie a été au cœur de l’actualité ces dernières semaines. Il va revenir encore plus sur le devant de la scène avec le décès de Françoise Hardy. La célèbre interprète de « Mon amie la rose » est en effet décédée après un long combat contre la maladie, mais également une lutte de tous les instants pour la légalisation de l’euthanasie en France.
Line Renaud, qui a semblé particulièrement affectée par la mort de la maman de Thomas Dutronc, a pris la peine d’écrire un long mot plein de tendresse sur Twitter. « J’ai tant de peine suite au départ de l’adorable et talentueuse Françoise Hardy. Je pense très fort à son fils Thomas qui était si près de sa maman ». Puis d’ajouter « Malgré sa demande et ses souffrances, Françoise Hardy n’a pas eu accès à l’aide à mourir. J’espère de tout cœur qu’une loi sur la fin de vie verra vite le jour ».
Le long combat de Françoise Hardy contre la maladie
La célèbre interprète de « Mon amie la rose » est en effet décédée après un long combat contre la maladie, mais également une lutte de tous les instants pour la légalisation de l’euthanasie en France.
Line Renaud terriblement affectée par la disparition de Françoise Hardy
Line Renaud, qui a semblé particulièrement affectée par la mort de la maman de Thomas Dutronc, a pris la peine d’écrire un long mot plein de tendresse sur Twitter. « J’ai tant de peine suite au départ de l’adorable et talentueuse Françoise Hardy. Je pense très fort à son fils Thomas qui était si près de sa maman ». Puis d’ajouter « Malgré sa demande et ses souffrances, Françoise Hardy n’a pas eu accès à l’aide à mourir. J’espère de tout cœur qu’une loi sur la fin de vie verra vite le jour ».
Deux décennies de traitement qui vont user le moral de Françoise Hardy
Les traitements qu’elle va subir pendant ces deux décennies vont avoir raison de son moral, lui provoquant de nombreux effets secondaires allant de la perte d’équilibre à des détresses respiratoires régulières. Elle va même perdre l’usage d’une oreille à cause d’une séance de radiothérapie.
L’euthanasie, un sujet depuis ses 23 ans
L’euthanasie n’est pas un sujet qui lui est venu suite à ses déboires. Elle y a en effet été confrontée depuis ses 23 ans et la maladie incurable de sa maman. Elle a régulièrement émis le souhait de « partir bientôt et de façon rapide, sans de trop grosses épreuves, comme l’impossibilité de respirer ». Malheureusement pour elle, les gouvernements successifs n’ont pas pris ce sujet autant à cœur qu’elle. Un débat qui a d’ailleurs été mis en pause suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale par Emmanuel Macron alors qu’un vote était prévu le 18 juin prochain. Françoise Hardy n’aurait malheureusement pas pu être là pour y assister.