Décès du fils de Nadine Morano : l’émouvant hommage d’Isabelle Balkany

Jeremie B.
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La communauté politique française est secouée par une terrible nouvelle : Grégoire Morano, le fils de l’eurodéputée Nadine Morano, a été retrouvé sans vie à son domicile de Nancy. À seulement 33 ans, le jeune homme laisse derrière lui une famille endeuillée et de nombreuses questions sans réponses.

Dans ces moments difficiles, les réseaux sociaux deviennent le théâtre d’un élan de solidarité. Parmi les messages de soutien, celui d’Isabelle Balkany se démarque par son émotion. L’épouse de l’ancien maire de Levallois-Perret a partagé sur X (ex-Twitter) un message poignant accompagné d’une photo de Nadine Morano et son fils : « Ma Nadine, pas de mots… Juste mon cœur de mère avec le tien ! »

Un drame familial aux circonstances encore floues

C’est Angelo Morano, le père de Grégoire, qui a fait la macabre découverte ce mardi 23 juillet. Inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son fils, il s’est rendu à son domicile, parvenant à y pénétrer par une fenêtre. Il a alors trouvé Grégoire en arrêt cardiorespiratoire.

Malgré une tentative de massage cardiaque et l’intervention rapide des secours, le jeune homme n’a pu être réanimé. Les causes exactes du décès restent pour l’heure inconnues, les autorités attendant les résultats d’examens complémentaires pour faire toute la lumière sur ce drame.

Un passé judiciaire récent

Cette tragédie survient quelques mois seulement après une période difficile pour Grégoire Morano. En mai 2023, l’ancien infographiste chez Havas Media avait été impliqué dans un accident de la route en Meurthe-et-Moselle. Après avoir percuté le pare-chocs d’un poids lourd sur l’autoroute, il avait pris la fuite avant d’être intercepté une trentaine de kilomètres plus loin.

Les tests pratiqués lors de son interpellation avaient révélé la présence de cocaïne dans son organisme. Cette affaire s’était soldée en février 2024 par une condamnation à huit mois de prison avec sursis prononcée par le tribunal de Nancy. Un épisode judiciaire qui avait déjà marqué la famille Morano, aujourd’hui confrontée à une épreuve bien plus douloureuse.