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Dubai Chocolate : la tablette à 17€ qui a fait craquer notre rédaction, vous ne regarderez plus les autres pareil !

Julie K.
7 Min de lecture

Dubai Chocolate, la tendance sucrée venue des Émirats qui buzz sur TikTok, s’installe discrètement dans les supermarchés français. Notre rédaction a testé 4 versions de cette tablette fourrée à la pistache et au cheveux d’ange, dont une à 17€ qui pulvérise la concurrence. Entre engouement sensoriel et polémique sur le prix, plongée dans une dégustation qui a divisé nos papilles… et révélé un incontournable.

Dubai Chocolate, le phénomène TikTok qui révolutionne les rayons gourmands

Star des réseaux sociaux depuis des mois, la tablette venue de Dubaï débarque enfin en France. Entre Franprix, Lidl et Carrefour, les enseignes rivalisent pour surfer sur la tendance, poussées par des millions de vidéos TikTok montrant son cœur fondant à la pistache. Sa particularité ? Un mariage inédit entre chocolat lait, kadaif (ces filaments de pâte croustillants surnommés cheveux d’ange) et une crème onctueuse, qui crée un contraste texturel addictif.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la version J.D Gross de Lidl, vendue 4,99€, a été épuisée en quelques jours. Un engouement alimenté par l’esthétique Instagrammable du produit – son format épais et son emballage doré –, mais aussi par le mystère autour de sa recette orientale. « Impossible de résister à l’appel du croustillant qui craque sous la dent », confirme un chef pâtissier cité dans notre enquête.

Disponible en France : où dénicher la tablette made in Dubaï et son secret de fabrication

Franprix, Lidl, Carrefour et la boutique en ligne Maison Ruchel se partagent le marché français. Si les versions distributeurs (entre 5€ et 10€) séduisent par leur accessibilité, la référence haut de gamme Le Damas, vendue 16,90€ les 200g, reste l’exclusivité du site spécialisé. Attention : la tablette J.D Gross de Lidl, malgré son prix mini, est régulièrement en rupture – une nouvelle livraison est prévue fin avril.

Son succès ? Un équilibre parfait entre exoticisme et familiarité. L’esthétique généreuse (2cm d’épaisseur !) et le craquement audible du kadaif à la découpe créent un effet waouh immédiat. « C’est cette texture à la fois fondante et croustillante qui rend accro », explique un acheteur pour grande distribution interrogé par nos soins. Un savant dosage qui explique pourquoi même les puristes du chocolat lui ont déjà réservé une place dans leur placard.

Pistache, cheveux d’ange et chocolat : le trio qui défie les codes de la pâtisserie

Le kadaif, ces filaments de pâte ultra-croustillants, vole la vedette dans cette création. Enrobé de chocolat lait et marié à une crème de pistache onctueuse, il crée un choc de textures inédit en France. « L’audace, c’est d’oser associer l’oriental et l’européen dans un même carré », analyse un critique culinaire joint par Buzzday. La version Miskets de Franprix (7,40€) respecte cet équilibre, tandis que celle de Lindt mise davantage sur le cacao.

Les consommateurs semblent conquis : 86% des avis en ligne saluent l’originalité du mélange. Seul bémol ? La teneur en sucre, qui varie de 22g à 47g selon les marques. « Le plaisir sensoriel prime sur la diététique », admet en souriant une testeuse de notre panel. Preuve que cette alliance improbable a déjà trouvé son public… et réécrit les règles du snacking sucré.

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