Image d’illustration © Buzzday
Protection Maximale : Les Gestes Qui Sauvent Des Vies
Ces gestes vitaux existent. Face à cet ennemi invisible, la prévention primaire reste notre meilleure arme. Des protocoles simples mais impératifs peuvent épargner à d’autres familles le calvaire vécu par les parents d’Élise.
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Le premier rempart ? Les mains. Vingt secondes de lavage au savon antibactérien, pas une de moins. « Les parents croient bien faire en passant rapidement sous l’eau », observe un infectiologue. « Mais E. coli résiste. Il faut frotter, insister, compter. »
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La désinfection hydroalcoolique complète systématiquement ce rituel. Avant chaque repas, après les toilettes, après avoir touché de la viande crue. Les enfants doivent intégrer ces automatismes dès le plus jeune âge.
En cuisine, la température devient question de survie. Soixante-dix degrés à cœur, vérifiés au thermomètre de cuisson. Pas d’approximation, pas de « ça me semble cuit ». Cette chaleur tue impitoyablement la bactérie tueuse.
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La contamination croisée représente l’autre piège mortel. Une planche à découper, un couteau souillé par la viande crue et voilà E. coli qui migre vers les légumes, les fruits, tout ce qui sera consommé sans cuisson.
Le froid protège également. Respecter la chaîne du froid, c’est empêcher la multiplication bactérienne. Car cette tragédie aurait pu être évitée. D’autres enfants sont aujourd’hui en danger.
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