« Elle n’aurait jamais dû… » : la mère d’Athéna brise le silence après la noyade de sa fille en famille d’accueil

« C’est Une Faute Inacceptable » : La Colère D’une Mère En Quête De Vérité

Ces défaillances révélées alimentent la colère de Prescillia, la mère d’Athéna. « Je considère que c’est une faute inacceptable et très grave », martèle-t-elle après avoir déposé plainte pour homicide involontaire. Son combat juridique vise un objectif clair : obtenir « l’entièreté des éléments, même s’il s’est dit que certaines choses devaient rester confidentielles ».

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Sa remise en cause du système frappe par sa radicalité. « Les associations de placement doivent être d’une vigilance et peut-être interdire les piscines. Il ne devrait pas avoir de familles d’accueil avec piscine », revendique-t-elle. Cette mère de 29 ans refuse catégoriquement l’argument climatique avancé : « On m’a dit que la porte était ouverte parce qu’il faisait chaud. Pour moi, si elle a les moyens de se payer une piscine, elle peut se payer une clim ».

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Les technologies de sécurisation l’interpellent également : « On a accès à plein de technologies comme des alarmes aux abords des piscines pour détecter le moindre souci ». Pour elle, la barrière n’était tout simplement pas sécurisée.

« Je ne peux pas laisser sa souffrance dans le silence », confie-t-elle pour justifier sa médiatisation du drame. Son objectif dépasse le cas personnel : « Je veux que ça soit entendu pour que tout le système de placement se rende compte qu’il y a vraiment un danger ».

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