Elle reconnaît avoir filmé ces vidéos dans sa salle de classe : l’institutrice condamnée

Plancy-l’Abbaye Sous Le Choc : Une Petite Commune Face Au Scandale

Ce détournement des biens publics frappe de plein fouet une communauté qui ne s’y attendait pas. Plancy-l’Abbaye, 41 km² pour moins de 1.000 habitants, découvre fin janvier une réalité qui dépasse l’entendement.

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Pascal Pluot, maire de cette petite commune auboise, reçoit l’information par des parents d’élèves. Comment ces adultes ont-ils pris connaissance des faits ? Le mystère demeure. Mais leur révélation déclenche immédiatement une onde de choc dans cette communauté rurale où tout le monde se connaît.

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L’ampleur du scandale contraste violemment avec la taille de la localité. Dans un village où l’école représente souvent le cœur battant de la vie sociale, découvrir que l’institutrice transforme les salles de classe en plateau de tournage pornographique sidère les familles.

Le maire réagit sans délai. Face aux gendarmes, l’enseignante reconnaît les faits. Plus d’échappatoire possible, plus de dénégation. La suspension conservatoire tombe immédiatement.

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Cette décision radicale illustre la gravité exceptionnelle de la situation. Dans l’Éducation nationale, suspendre un enseignant nécessite des motifs particulièrement sérieux. Ici, l’évidence s’impose : impossible de maintenir en poste une personne qui a instrumentalisé l’espace scolaire à des fins si contraires à sa mission.

Pour Plancy-l’Abbaye, le réveil s’avère brutal. Cette affaire marque durablement une commune habituée aux petits événements locaux plutôt qu’aux scandales nationaux.

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