Elles avouent enfin pourquoi elles ont disparu 2h avec leurs doudous : « On voulait jouer aux… »

Image d’illustration © Buzzday

Une Mobilisation Exceptionnelle Des Forces De L’Ordre

Cette attente ne dure pas. À la gendarmerie de Vienne, l’alerte déclenche une réaction immédiate. Pas moins de 14 gendarmes des différentes unités de la compagnie sont mobilisés dans l’urgence. Une équipe cynophile les rejoint rapidement sur le terrain.

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L’ampleur du dispositif impressionne. Véhicules de patrouille, maîtres-chiens, gendarmes à pied : Estrablin se transforme en véritable quartier général des recherches. Les forces de l’ordre ratissent méthodiquement chaque rue, chaque jardin, chaque recoin susceptible d’abriter deux fillettes.

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Les chiens reniflent les traces, nez au sol, guidés par leurs maîtres expérimentés. Les patrouilles se déploient aux quatre coins du village et au-delà. Les gendarmes interrogent les passants, vérifient les témoignages, coordonnent leurs efforts par radio.

Sur les réseaux sociaux, l’information prend une dimension régionale. Les partages se multiplient, touchent les communes voisines de Septème, Chuzelles, Reventin-Vaugris. « Deux petites filles recherchées activement », martèlent les publications. Chaque citoyen devient un œil supplémentaire dans cette course contre la montre.

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L’horloge tourne. 20h, 20h30, 21h. Les parents rongent leur frein, oscillant entre espoir et angoisse. Dans les rues d’Estrablin, l’effervescence policière contraste avec le silence pesant des familles. Les minutes s’étirent, interminables, sous le regard des projecteurs qui balaient l’obscurité naissante.