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Emile : l’avocate du grand-père sort du silence après leur garde à vue pour homicide, ça ne veut rien dire…

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Quatre membres de la famille d’Emile, dont ses grands-parents maternels, sont placés en garde à vue ce mardi 25 mars 2025 dans le cadre de l’enquête sur l’homicide volontaire et le recel de cadavre du jeune disparu en 2023. « Être placé en garde à vue, ça ne veut rien dire », réagit Maître Isabelle Colombani, l’avocate du grand-père, face aux caméras de BFM TV. Alors que les enquêteurs analysent deux véhicules familiaux saisis à La Bouilladisse, les ombres persistent sur cette affaire relancée par la découverte des ossements en 2024 près du Haut-Vernet.

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Garde à vue des grands-parents d’Emile : les détails glaçants de la mise en examen pour homicide volontaire

Philippe Vedovini et son épouse, grands-parents maternels d’Emile, sont placés en garde à vue ce mardi 25 mars avec deux de leurs enfants. Les enquêteurs perquisitionnent leur domicile de La Bouilladisse (Bouches-du-Rhône) dès l’aube, saisissant leur voiture et une remorque à chevaux. Le parquet d’Aix-en-Provence retient les charges d’« homicide volontaire » et de « recel de cadavre », neuf mois après la découverte des ossements près de leur résidence secondaire.

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Jean-Luc Blanchon, procureur de la République, précise que ces auditions visent à « confronter les éléments recueillis depuis des mois ». La mesure intervient alors que des traces de sang avaient été identifiées sur une jardinière près de la chapelle du Haut-Vernet, lieu-clé de l’enquête. Les véhicules saisis seront examinés au laboratoire de police scientifique.

Déclarations de Maître Colombani : « Être placé en GAV, ça ne veut rien dire »

Maître Isabelle Colombani, avocate du grand-père Philippe Vedovini, réagit immédiatement après sa première audition. « On s’attendait à un dénouement rapide, beaucoup de choses s’étaient passées », déclare-t-elle à BFM TV, tout en minimisant la portée de la mesure. « Être placé en garde à vue, ça ne veut rien dire. C’est une étape dans l’enquête », insiste-t-elle, rappelant que ses clients « coopèrent pleinement ».

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La défense mise sur une stratégie de dédramatisation, soulignant l’absence de mise en examen à ce stade. L’experte en droit pénal nuance : la garde à vue permet aux enquêteurs de confronter les versions, mais ne préjuge pas d’éventuelles poursuites. Un subtil rappel alors que le parquet évoque des « vérifications » liées aux traces biologiques découvertes près de la résidence secondaire familiale.

Enquête accélérée : sang, véhicules et indices biologiques sous la loupe des experts

Une jardinière près de la chapelle du Haut-Vernet, où des traces de sang ont été identifiées en 2024, constitue désormais une pièce centrale. Les enquêteurs saisissent également la voiture familiale et une remorque à chevaux à La Bouilladisse, à 200 km des lieux de la disparition. Ces éléments rejoignent le laboratoire de police scientifique pour des analyses approfondies.

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Les prélèvements ADN effectués sur la jardinière relancent l’enquête après 10 mois d’impasse. Combinés à de nouveaux témoignages, ils orientent les recherches vers une « intervention d’un tiers », selon les termes du procureur. Des riverains du hameau alpin auraient fourni des éléments cohérents avec les découvertes récentes.

Un timing troublant : la garde à vue qui relance les interrogations
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