Le 2 avril 2025, Emmanuel Macron réagit avec virulence à la condamnation de Marine Le Pen, qualifiant les menaces contre les magistrats d’« insupportables et intolérables » lors d’un Conseil des ministres à l’Élysée. Alors que la cheffe du Rassemblement National écope de 5 ans d’inéligibilité avec effet immédiat, le président rappelle l’indépendance de la justice et « l’égalité devant le droit ». Dans un contexte politique explosif, ses déclarations relancent le débat sur l’exécution provisoire des jugements et font planer l’incertitude sur une possible candidature de Le Pen à l’élection de 2027.

