L’hommage inattendu du public révélé : quand les spectateurs chantent à la place d’un Enrico Macias aphone en plein spectacle
Un moment mythique marque la carrière d’Enrico Macias : lors d’un concert, le chanteur perd subitement sa voix. « J’ai voulu m’arrêter, mais les spectateurs ont refusé de me laisser partir. Je suis resté debout devant le micro… ils ont chanté à ma place », raconte-t-il, ému, à Soir Mag. Cette scène symbole d’une relation fusionnelle avec son public explique son attachement viscéral à la scène.
Cet échange unique éclaire aussi ses choix de vie. Propriétaire d’une villa à Saint-Tropez, l’artiste affirme préférer « les gens du pays » aux paillettes : « Je n’ai rien à voir avec les mondanités. Ceux que je connais depuis des décennies m’ont adopté pour ça », confie-t-il dans Bonjour ! sur TF1. Une authenticité qui forge sa légende bien loin des clichés de la Côte d’Azur.
Saint-Tropez sans mondanités : le choix assumé d’Enrico Macias pour « les gens du pays »
À Saint-Tropez, où il possède une villa, Enrico Macias cultive une simplicité décalée. « Je n’aime pas les mondanités. J’aime les gens du pays que je connais depuis très longtemps », insiste-t-il dans l’émission Bonjour ! de TF1. Un credo qui explique pourquoi l’artiste, malgré six décennies de succès, se sent plus proche des habitants que des jet-setteurs.
Ce rejet des paillettes forge son identité : « Ils m’ont adopté à cause de ça. Parce que moi, je n’ai rien à voir avec tout ça », précise-t-il, évoquant des relations tissées depuis les années 1960. Une authenticité revendiquée qui transforme sa résidence de la Côte d’Azur en havre discret, loin des excès médiatiques – et plus proche des valeurs qui l’animent depuis L’Oriental jusqu’à aujourd’hui.