Dans le paysage audiovisuel français, certains noms résonnent comme des emblèmes de confiance et de proximité. C’est notamment le cas de Faustine Bollaert, élue personnalité télé préférée des Français pour la deuxième année consécutive selon TV Magazine en décembre 2024. Derrière ce succès et cette popularité grandissante se cache pourtant une histoire personnelle touchante, celle d’un choix de nom qui en dit long sur les valeurs familiales de l’animatrice.
Car oui, celle qui fait chavirer les cœurs des téléspectateurs chaque après-midi sur France 2 avec « Ça commence aujourd’hui » n’est pas née Bollaert, mais Faraggi. Un changement de patronyme qui n’a rien d’un simple choix marketing, mais qui révèle au contraire une histoire d’amour familiale profonde et émouvante.
Une ascension fulgurante sous une nouvelle identité
Le parcours de Faustine dans les médias est jalonné de succès. De ses débuts comme journaliste pour Télé 7 jours en 2002 à son rôle d’animatrice phare sur France 2, en passant par M6 et « Le Meilleur Pâtissier », elle a su conquérir le public par son authenticité et son professionnalisme. Mais c’est sous le nom de Bollaert qu’elle a écrit les plus belles pages de sa carrière.
Le saviez-vous ?
Avant de devenir l’animatrice que l’on connaît, Faustine a fait une apparition comme figurante dans la série « Premiers Baisers » en 1995 et a même participé à l’audition du Morning Live avec Michael Youn, sans être retenue.
L’histoire d’un nom, l’histoire d’un amour
C’est l’histoire d’un lien particulier entre une petite-fille et son grand-père maternel qui se cache derrière ce patronyme. Stéphane Bollaert, décrit comme « le premier homme de sa vie », a marqué l’enfance et l’adolescence de Faustine d’une empreinte indélébile. Un héritage qu’elle a choisi de porter fièrement en adoptant son nom pour sa carrière publique.
Ce choix, bien plus qu’un simple changement administratif, représente un véritable hommage à celui qui a façonné sa personnalité. D’abord accolé à son nom de naissance sur sa carte d’identité, « Bollaert » est devenu son unique signature professionnelle, portant ainsi la mémoire de son grand-père bien au-delà de sa disparition en 1997.
Un héritage qui perdure en terre bretonne
L’influence de Stéphane Bollaert dans la vie de sa petite-fille ne s’arrête pas à son patronyme. Alors qu’elle a grandi dans le XVIe arrondissement de Paris, c’est en Bretagne, à Saint-Cast-le-Guildo, que Faustine a choisi d’établir son foyer. Une décision qui n’a rien du hasard : c’est précisément là que son grand-père avait installé sa famille.
Une famille d’exception
Faustine Bollaert est également la petite-fille de l’aviateur André Faraggi et l’arrière-petite-nièce de Félix Bollaert, démontrant un riche héritage familial des deux côtés de sa famille.
Une nouvelle page de l’histoire familiale
Aujourd’hui, aux côtés de son mari l’écrivain Maxime Chattam et de leurs deux enfants, Abbie et Peter, Faustine perpétue l’histoire des Bollaert en Bretagne. Elle y construit sa propre histoire familiale, tout en maintenant vivace le souvenir de celui qui lui a légué bien plus qu’un nom : des valeurs, un ancrage territorial et une identité qui résonne désormais dans tout l’Hexagone.
