Les Aveux Qui Mettent Fin Au Mystère
L’interpellation a lieu samedi. Placé en garde à vue, l’homme qui orchestrait sa propre mise en scène se retrouve face à ses contradictions. Les gendarmes de Quimper alignent les preuves une à une. L’étau se resserre.
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Sous la pression des enquêteurs, la façade s’effrite. Les questions se multiplient, les incohérences s’accumulent. Comment expliquer ces sacs-poubelle transportés en pleine nuit ? Pourquoi avoir brûlé les papiers d’identité de sa conjointe ?
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Le suspect finit par craquer. Il reconnaît avoir tué son épouse. Plus encore : il indique aux gendarmes l’emplacement exact où il a dissimulé le corps. Un bois, non loin de Quimper. L’aveu complet balaie sa stratégie de déni.
Le contraste saisit : vendredi, cet homme se présentait au commissariat en époux inquiet, signalant la disparition de sa compagne. Quarante-huit heures plus tard, il guide les enquêteurs vers la dépouille qu’il a lui-même cachée.
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Dimanche soir, les recherches aboutissent. Le corps sans vie de la victime est découvert dans le bois indiqué. Les aveux correspondent à la réalité. L’enquête bascule définitivement du côté des certitudes.
Une autopsie sera pratiquée pour établir les causes exactes du décès. Mais désormais, les faits parlent d’eux-mêmes. Le père de famille qui tentait de détourner les soupçons vient de sceller son destin judiciaire.
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