Francis Lalanne avoue enfin : « Je ne peux pas payer mon loyer », le destin tragique d’une star de 66 ans

Image d’illustration © Buzzday

Les Coulisses De Sa Chute : Maastricht, Le Fisc Et Son Sauveur Providentiel

Cette résistance trouve ses racines dans un combat qui a tout déclenché. 1992 : Francis Lalanne s’oppose publiquement au Traité de Maastricht. Une prise de position qui coûtera sa carrière.

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« Sur Maastricht, il s’était beaucoup investi », se souvient Richard Hubert, son premier manager. Les conséquences ne tardent pas. Selon un proche, l’Elysée multiplie mystérieusement les contrôles fiscaux à son encontre. La vengeance politique prend la forme de harcèlement administratif.

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Mais Francis Lalanne n’était pas blanc comme neige. « Il s’est un peu mis lui-même la tête sur le billot. Il ne déclarait pas tout l’argent qu’il gagnait », révèle Richard Hubert sans détour. Un mélange explosif entre convictions politiques et négligences fiscales qui précipite sa chute.

Trente ans plus tard, les plaies ne sont pas refermées. L’artiste paie encore le prix de ses engagements contre-courant.

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Heureusement, une rencontre change la donne. Au Parc des Princes, Francis Lalanne croise la route de Jean-Marc Governatori, ancien patron des magasins Fly. Le millionnaire devient son mécène providentiel.

« Ce qui me plaît chez Jean-Marc, c’est qu’au lieu de s’acheter des yachts ou des clubs de foot il consacre tout son argent à la construction d’un pôle démocratique en France », explique Francis Lalanne avec reconnaissance.

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Dans cette tempête financière, l’homme a trouvé un port d’attache. Un soutien qui redonne espoir à celui qui refuse de courber l’échine.